La Génération Y crée l'événement à Mulhouse » Le zapping comportemental (5/8)
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mardi 20 octobre 2009
vendredi 9 octobre 2009
mardi 6 octobre 2009
Mythes et réalités de la génération Y
Mythes et réalités de la génération Y
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(pour vous inciter à lire cet article, en voici les premières lignes)
Derrière la mythologie, il est bon parfois de descendre sur terre et de constater par soi-même. L’occasion s’est très récemment présentée à moi puisqu’une école d’ingénieur a souhaité que j’évangélise toute une promotion aux joies des médias sociaux, problématique de la recherche d’emploi et de la modernité des réseaux sociaux d’entreprise oblige. Cela m’a permis de consolider diverses confrontations du genre, et un peu mes perceptions. Je précise que je parle ici de gens qui font des études technologiques, mais pas IT. Je suis donc hors cursus digitalement orienté.
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(pour vous inciter à lire cet article, en voici les premières lignes)
Mythes et réalités de la génération Y
Publié le 02 octobre 2009 par alexismons Il ne manque pas de billets et d’alerte pour nous dire tous les jours que les petits jeunes arrivent, pensent et font différemment, sont nativement digitaux, sinon ont muté du cerveau. Il est en tous les cas certain que toute marque ou organisation qui ne s’intéresserait pas à la première vraie génération digitalisée prend un risque de décalage inconsidéré d’avec ses publics.Derrière la mythologie, il est bon parfois de descendre sur terre et de constater par soi-même. L’occasion s’est très récemment présentée à moi puisqu’une école d’ingénieur a souhaité que j’évangélise toute une promotion aux joies des médias sociaux, problématique de la recherche d’emploi et de la modernité des réseaux sociaux d’entreprise oblige. Cela m’a permis de consolider diverses confrontations du genre, et un peu mes perceptions. Je précise que je parle ici de gens qui font des études technologiques, mais pas IT. Je suis donc hors cursus digitalement orienté.
lundi 28 septembre 2009
vendredi 25 septembre 2009
mercredi 23 septembre 2009
lundi 21 septembre 2009
mercredi 16 septembre 2009
Generation Y 2.0
Generation Y 2.0
Un article qui répond à la question "Boomer, Y, x, ça commence ou et ça s'arrête où? "
Et "Peut-on travailler ensemble?"
Read more: http://www.generationy20.com/intergenerationnel-travailler-ensemble-loin-des-cliches#ixzz0RIxbn3fe
Un article qui répond à la question "Boomer, Y, x, ça commence ou et ça s'arrête où? "
Et "Peut-on travailler ensemble?"
Intergénérationnel : travailler ensemble loin des clichés - première étape
Publié par Benjamin dans ManagementS’il y a bien une chose sur laquelle toute l’équipe de Génération Y 2.0 se bat depuis sa constitution, c’est la réduction (et la classification) des individus, des générations ou des personnalités en cases ou en “listes de courses”. Pourtant, vu les formations proposées sur le sujet (pas de liens mais vous reconnaitrez) la catégorisation à la hache a encore de bons jours devant elle.
Read more: http://www.generationy20.com/intergenerationnel-travailler-ensemble-loin-des-cliches#ixzz0RIxbn3fe
La Generation Y
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La Generation Y
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mardi 15 septembre 2009
vendredi 11 septembre 2009
mardi 8 septembre 2009
vendredi 28 août 2009
Les Y les Boomers et les X
Je me demande si c'est les boomers qui sont le plus loin des Y. C'est vrai qu'on a eu une jeunesse assez raide. Party, grèves annuelles, café campus pour ceux qui se rappellent juste devant les HEC. Parent de trois Y, je ne pense pas que nous soyons très loin d'eux. Ils nous ressemblent. Ils ont les valeurs que nous leur avons transmises. Ils pourront terminer ce que nous avons commencé. Les X sont beaucoup plus différents. Obligés de créer leurs emplois, maintenus dans un statut précaire par la présence de la masse des boomers qui ne voulaient quand même pas se retrouver dans la rue pour leur faire une place, ils sont devenus individualistes et votent pour l'ADQ. C'est ce groupe qui en ce moment critique les nouvelles générations. Alors unissons-nous boomers et y et C en continuant de dire oui au plaisir et au bonheur et ? la famille et aux amis et en disant aux employeurs qui de plus en plus sont de X. Si ma qualité de vie n'est pas prise en cause, je vais ailleurs.
Je n'ai jamais voulu faire de conflit de générations. Je viens seulement constater des situations. En effet, il y a eu d'énormes frustrations justifiées chez les X. Pour ce qui est de l'incompétence, j'en ai vu dans toutes les classes d'âge (la courbe normale ne peut être plus vraie qu'en ce domaine. Dans le monde de l'enseignement, où je travaille, je suis justement à faire l'essai de patrons X qui semblent vouloir se venger et ça me déçoit. Tout ce que je voulais dire, c'est que les y et les c imposeront, comme nous l'avons fait? leur âge leur façon de penser le monde et que ça va être difficile pour les x , parvenus aux postes de commande, de se faire obéir et qu'ils devront s'adapter. Je n'ai rien contre les X parmi lesquels j'ai beaucoup d'amis, mais je déplore que la situation où ils ont été, la précarité, les frustrations les aient rendus aussi amers. Mais avouez que pendant leur vie le gros bout du bâton était entre les mains des employeurs qui auraient coupé allègrement dans leur personnel s'il n'y avait eu les syndicats. Aujourd'hui, le balancier est revenu mettre le pouvoir de négociation entre les mains des employés et si je me fie aux rencontres que j'ai avec des patrons de PME, le gros défi est la rétention de personnel? Alors, c'est à l'avantage de toutes les générations. Les boomers pourront rester plus longtemps ou faire une deuxième carrière, les X pourront se préparer une belle retraite en négociant de meilleurs salaires, les Y et les C auront plus rapidement des emplois selon leurs goûts et leurs capacités.
Je n'ai jamais voulu faire de conflit de générations. Je viens seulement constater des situations. En effet, il y a eu d'énormes frustrations justifiées chez les X. Pour ce qui est de l'incompétence, j'en ai vu dans toutes les classes d'âge (la courbe normale ne peut être plus vraie qu'en ce domaine. Dans le monde de l'enseignement, où je travaille, je suis justement à faire l'essai de patrons X qui semblent vouloir se venger et ça me déçoit. Tout ce que je voulais dire, c'est que les y et les c imposeront, comme nous l'avons fait? leur âge leur façon de penser le monde et que ça va être difficile pour les x , parvenus aux postes de commande, de se faire obéir et qu'ils devront s'adapter. Je n'ai rien contre les X parmi lesquels j'ai beaucoup d'amis, mais je déplore que la situation où ils ont été, la précarité, les frustrations les aient rendus aussi amers. Mais avouez que pendant leur vie le gros bout du bâton était entre les mains des employeurs qui auraient coupé allègrement dans leur personnel s'il n'y avait eu les syndicats. Aujourd'hui, le balancier est revenu mettre le pouvoir de négociation entre les mains des employés et si je me fie aux rencontres que j'ai avec des patrons de PME, le gros défi est la rétention de personnel? Alors, c'est à l'avantage de toutes les générations. Les boomers pourront rester plus longtemps ou faire une deuxième carrière, les X pourront se préparer une belle retraite en négociant de meilleurs salaires, les Y et les C auront plus rapidement des emplois selon leurs goûts et leurs capacités.
Libellés :
boomers,
génératio Y,
génération X
mardi 25 août 2009
Génération Y américaine : un premier rendez-vous avec l'histoire
Génération Y américaine : un premier rendez-vous avec l'histoire
Un article très intéressant sur l'influence de la génération Y américaine qui nous ressemble beaucoup et dans l'espace et dans le temps.
Un article très intéressant sur l'influence de la génération Y américaine qui nous ressemble beaucoup et dans l'espace et dans le temps.
lundi 24 août 2009
Les baby-boomers tendent la main aux Y
- Carole le Hirez
- 22 août 2009
Jumeler la recrue à un mentor qui connaît bien les rouages de l'entreprise fait partie des pratiques répandues dans la grande entreprise. Mais la guerre des talents qui pousse les jeunes à changer plus souvent d'emploi amène davantage d'entreprises de moins de 30 employés à leur emboîter le pas.
Embauches : prendre les bonnes décisions
" Le mentorat aide les nouveaux employés à être efficaces plus rapidement. Il permet notamment d'expliquer le non-dit dans l'entreprise, un des aspects les plus difficiles à maîtriser quand on commence ", affirme Benoit Leduc, consultant chez Humanoïde Conseil, firme spécialisée en gestion des ressources humaines.
lire la suite de cet article
vendredi 17 juillet 2009
Generation Y : une génération online
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Generation Y : une génération online
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Génération Y, Génération C... "Communiquer, Collaborer et Créer" - L'entreprise de demain - Lentreprise
Génération Y, Génération C... "Communiquer, Collaborer et Créer" - L'entreprise de demain - Lentreprise: "Génération Y, Génération C... 'Communiquer, Collaborer et Créer'
le 17 juillet 2009 5h00 | par
Frederic Creplet
Vous avez du entendre parler de la génération Y ? Les membres de la génération Y ont aujourd'hui entre 22 et 32 ans (selon les études)...
Selon un article récent de Patrice LETOURNEAU pour le Blog de VOIRIN Consultants, ils se caractérisent par les termes ci-après:
On voit leur effet partout et, lorsqu'ils sont regroupés en plus grand nombre comme dans le cas d'organisations « à la Google », ils sont de puissants moteurs d'innovation.
Rappelons ici certaines de leurs caractéristiques :
* Ils sont ludiques, individualistes et ambitieux,
* Ils sont réticents à travailler durant les fêtes et week-ends,
* Ils veulent des congés pour décompresser, car la santé mentale et physique s'avère leur priorité,
* Ils recherchent une meilleure qualité de vie, en conciliant travail et intérêt personnel,
* Ils pensent à court terme et sont très mobiles,
* Ils sont très à l’aise avec les technologies de l’information et collaborent facilement.
Mais selon certains chercheurs, si la génération Y ouvre la voie à des transformations profondes dans les organisations (utilisation d’outils collaboratifs, applatissement des structures hiérarchiques, etc.), c’est l’arrivée de la génération « C » qui provoquera le plus d’impacts...
stickers papier paint.jpg
La génération C selon l'auteur : 'est connectée à la fois à la maison, à l’école, mais elle utilise aussi les téléphones portables pour rechercher de l’information, échanger, communiquer, partager, etc. Elle est native du numérique et imagine mal comment la société pouvait fonctionner avant l’arrivée du web. En effet, comment les gens arrivaient-ils à planifier des week-ends de camping sans Facebook ? Et pour les horaires de cinéma, il fallait vraiment téléphoner ? Les travaux scolaires sans Google leur semblent d’autant plus impossibles à imaginer.'...
colloque_génération C.jpg
Pour ceux que cela intéresse un très beau colloque va avoir lieu à Québec en octobre prochain sur la généraion C organisé par le CEFRIO... Je vous encourage à lire la présentation et le programme!
Le colloque donnera également les résultats d'une étude sur cette génération... présentée comme la plus grande étude jamais réalisée au Québec sur les attentes et les comportements des jeunes qui ont grandi avec les TIC et Internet...
Le contexte de l’étude : en 2006, 468 000 Québécois avaient entre 10 et 14 ans; 474 000 avaient entre 15 et 19 ans; et 492 000 avaient entre 20 et 24 ans. On appelle ce million et demi de Québécois la génération C. En effet, ces jeunes ont grandi avec les micro-ordinateurs et Internet et ils s’en servent pour Communiquer, Collaborer et Créer comme jamais auparavant dans l’histoire..."
le 17 juillet 2009 5h00 | par
Frederic Creplet
Vous avez du entendre parler de la génération Y ? Les membres de la génération Y ont aujourd'hui entre 22 et 32 ans (selon les études)...
Selon un article récent de Patrice LETOURNEAU pour le Blog de VOIRIN Consultants, ils se caractérisent par les termes ci-après:
On voit leur effet partout et, lorsqu'ils sont regroupés en plus grand nombre comme dans le cas d'organisations « à la Google », ils sont de puissants moteurs d'innovation.
Rappelons ici certaines de leurs caractéristiques :
* Ils sont ludiques, individualistes et ambitieux,
* Ils sont réticents à travailler durant les fêtes et week-ends,
* Ils veulent des congés pour décompresser, car la santé mentale et physique s'avère leur priorité,
* Ils recherchent une meilleure qualité de vie, en conciliant travail et intérêt personnel,
* Ils pensent à court terme et sont très mobiles,
* Ils sont très à l’aise avec les technologies de l’information et collaborent facilement.
Mais selon certains chercheurs, si la génération Y ouvre la voie à des transformations profondes dans les organisations (utilisation d’outils collaboratifs, applatissement des structures hiérarchiques, etc.), c’est l’arrivée de la génération « C » qui provoquera le plus d’impacts...
stickers papier paint.jpg
La génération C selon l'auteur : 'est connectée à la fois à la maison, à l’école, mais elle utilise aussi les téléphones portables pour rechercher de l’information, échanger, communiquer, partager, etc. Elle est native du numérique et imagine mal comment la société pouvait fonctionner avant l’arrivée du web. En effet, comment les gens arrivaient-ils à planifier des week-ends de camping sans Facebook ? Et pour les horaires de cinéma, il fallait vraiment téléphoner ? Les travaux scolaires sans Google leur semblent d’autant plus impossibles à imaginer.'...
colloque_génération C.jpg
Pour ceux que cela intéresse un très beau colloque va avoir lieu à Québec en octobre prochain sur la généraion C organisé par le CEFRIO... Je vous encourage à lire la présentation et le programme!
Le colloque donnera également les résultats d'une étude sur cette génération... présentée comme la plus grande étude jamais réalisée au Québec sur les attentes et les comportements des jeunes qui ont grandi avec les TIC et Internet...
Le contexte de l’étude : en 2006, 468 000 Québécois avaient entre 10 et 14 ans; 474 000 avaient entre 15 et 19 ans; et 492 000 avaient entre 20 et 24 ans. On appelle ce million et demi de Québécois la génération C. En effet, ces jeunes ont grandi avec les micro-ordinateurs et Internet et ils s’en servent pour Communiquer, Collaborer et Créer comme jamais auparavant dans l’histoire..."
jeudi 18 juin 2009
Gestion des RH - Quelles sont les attentes de la génération Y ?
Gestion des RH - Quelles sont les attentes de la génération Y ?: "Gestion des RH
Quelles sont les attentes de la génération Y ?
Les jeunes et les DRH ont du mal à se comprendre. Au travail, les premiers mettent en avant le niveau de rémunération quand les seconds misent sur la notoriété de l’entreprise.
La génération Y est-elle si différente des générations précédentes ? L’objectif de l’enquête*, réalisée en avril 2009 par la Cegos et publiée le 9 juin, est de tenter de mieux comprendre le comportement de ces jeunes âgés de 20 à 30 ans.
Evolution de carrière
Premier enseignement : l’enquête va à l’encontre des idées reçues. Pour Annick Cohen-Haegen, manager de l’offre ressources humaines de la Cegos, les « jeunes ne sont pas des zappeurs ». En effet, les trois quarts d’entre eux se disent « prêts à rester dans la même entreprise si cette dernière répond à leurs attentes et leur permet d’évoluer ». Ils envisagent « d’abord la mobilité en interne (58 %) afin, notamment, de changer de poste au sein de la même filière de métier ».
Donnant-donnant
Toutefois, cette génération a créé une rupture. Le lien “affectif” avec l’entreprise n’est pas perceptible. « On est beaucoup plus dans une philosophie du donnant-donnant », poursuit Annick Allégret, directrice de l’unité RH. C’est une génération du contrat individualisé et négocié dans laquelle se retrouvent aussi bien les ouvriers que les cadres, les femmes que les hommes, le secteur de l’industrie que celui des services. » Une approche distanciée de l’entreprise qui n’est sans doute pas étrangère au premier lien qu’ils ont avec elle : 63 % des jeunes de 20 à 24 ans démarrent, en effet, leur vie professionnelle par un contrat à durée déterminée.
Rémunération
Enfin, l’enquête montre que leurs attentes déconcertent plus d’un DRH. Pour attirer les moins de 30 ans, ces derniers misent d’abord sur « l’image et la notoriété de l’entreprise » ainsi que sur le « contenu du poste ». Les jeunes placent, eux, la « rémunération et l’évolution de carrière aux premiers rangs de leurs priorités ». Cependant, pour les DRH interrogés, réviser leur politique de rémunération est loin d’être d’actualité. Ils préfèrent se focaliser sur les parcours d’intégration, les processus de recrutement ou la GPEC (gestion prévisionnelle des emplois et de compétences). Pas sûr que le dialogue s’améliore en période de crise.
Anne Bariet
* Enquête « Les 20/30 ans et le travail : regards croisés des jeunes salariés et des DRH », réalisée auprès de 1 001 jeunes salariés âgés de 20 à 30 ans et de 120 DRH.
Entreprise & Carrières, 16/06/2009
© Tous droits réservés
article original
Liens : http://www.chefdentreprise.com/Breves/ConsultBreve.asp?ID_Article=29733
http://www.wk-rh.fr/actualites/detail/8674/mais-ou-est-passee-la-generation-y-.html
http://www.wk-rh.fr/actualites/detail/10664/le-grand-malaise-des-quadras-dans-l-entreprise.html"
Quelles sont les attentes de la génération Y ?
Les jeunes et les DRH ont du mal à se comprendre. Au travail, les premiers mettent en avant le niveau de rémunération quand les seconds misent sur la notoriété de l’entreprise.
La génération Y est-elle si différente des générations précédentes ? L’objectif de l’enquête*, réalisée en avril 2009 par la Cegos et publiée le 9 juin, est de tenter de mieux comprendre le comportement de ces jeunes âgés de 20 à 30 ans.
Evolution de carrière
Premier enseignement : l’enquête va à l’encontre des idées reçues. Pour Annick Cohen-Haegen, manager de l’offre ressources humaines de la Cegos, les « jeunes ne sont pas des zappeurs ». En effet, les trois quarts d’entre eux se disent « prêts à rester dans la même entreprise si cette dernière répond à leurs attentes et leur permet d’évoluer ». Ils envisagent « d’abord la mobilité en interne (58 %) afin, notamment, de changer de poste au sein de la même filière de métier ».
Donnant-donnant
Toutefois, cette génération a créé une rupture. Le lien “affectif” avec l’entreprise n’est pas perceptible. « On est beaucoup plus dans une philosophie du donnant-donnant », poursuit Annick Allégret, directrice de l’unité RH. C’est une génération du contrat individualisé et négocié dans laquelle se retrouvent aussi bien les ouvriers que les cadres, les femmes que les hommes, le secteur de l’industrie que celui des services. » Une approche distanciée de l’entreprise qui n’est sans doute pas étrangère au premier lien qu’ils ont avec elle : 63 % des jeunes de 20 à 24 ans démarrent, en effet, leur vie professionnelle par un contrat à durée déterminée.
Rémunération
Enfin, l’enquête montre que leurs attentes déconcertent plus d’un DRH. Pour attirer les moins de 30 ans, ces derniers misent d’abord sur « l’image et la notoriété de l’entreprise » ainsi que sur le « contenu du poste ». Les jeunes placent, eux, la « rémunération et l’évolution de carrière aux premiers rangs de leurs priorités ». Cependant, pour les DRH interrogés, réviser leur politique de rémunération est loin d’être d’actualité. Ils préfèrent se focaliser sur les parcours d’intégration, les processus de recrutement ou la GPEC (gestion prévisionnelle des emplois et de compétences). Pas sûr que le dialogue s’améliore en période de crise.
Anne Bariet
* Enquête « Les 20/30 ans et le travail : regards croisés des jeunes salariés et des DRH », réalisée auprès de 1 001 jeunes salariés âgés de 20 à 30 ans et de 120 DRH.
Entreprise & Carrières, 16/06/2009
© Tous droits réservés
article original
Liens : http://www.chefdentreprise.com/Breves/ConsultBreve.asp?ID_Article=29733
http://www.wk-rh.fr/actualites/detail/8674/mais-ou-est-passee-la-generation-y-.html
http://www.wk-rh.fr/actualites/detail/10664/le-grand-malaise-des-quadras-dans-l-entreprise.html"
mercredi 27 mai 2009
Manager des juniors et/ou des seniors - pourseformer.fr
Manager des juniors et/ou des seniors - pourseformer.fr: "Manager des juniors et/ou des seniors
Comment éviter les problèmes intergénérationnels dans l’entreprise ? La question est d’actualité avec d’une part, des jeunes de la « génération Y » que les managers peinent parfois à comprendre. De l’autre, des « seniors » qui non seulement nécessiteraient des attentions particulières, mais doivent en plus parfois cohabiter avec les premiers. Une équation pas toujours aisée à résoudre.
« Depuis un peu plus d’un an, nous avons constaté une nouvelle demande de la part des entreprises, explique Matthieu Daum, consultant au cabinet de conseil en ressources humaines Nexus. Nous travaillions avec elles sur d’autres questions, l’accompagnement au changement, le développement du leadership, la diversité homme/femme… mais de plus en plus, nous comprenons que l’un des problèmes centraux vécus dans l’entreprise est ce problème entre générations ». L’organisme en est alors venu à proposer une démarche originale de « dialogue entre générations », qu’elle a testé au cours des derniers mois.
Ne pas avoir peur de la « génération Y »."
Comment éviter les problèmes intergénérationnels dans l’entreprise ? La question est d’actualité avec d’une part, des jeunes de la « génération Y » que les managers peinent parfois à comprendre. De l’autre, des « seniors » qui non seulement nécessiteraient des attentions particulières, mais doivent en plus parfois cohabiter avec les premiers. Une équation pas toujours aisée à résoudre.
« Depuis un peu plus d’un an, nous avons constaté une nouvelle demande de la part des entreprises, explique Matthieu Daum, consultant au cabinet de conseil en ressources humaines Nexus. Nous travaillions avec elles sur d’autres questions, l’accompagnement au changement, le développement du leadership, la diversité homme/femme… mais de plus en plus, nous comprenons que l’un des problèmes centraux vécus dans l’entreprise est ce problème entre générations ». L’organisme en est alors venu à proposer une démarche originale de « dialogue entre générations », qu’elle a testé au cours des derniers mois.
Ne pas avoir peur de la « génération Y »."
mardi 26 mai 2009
Daphnée Dion-Viens : Après la Y, place à la génération C | Société
Daphnée Dion-Viens : Après la Y, place à la génération C | Société: "enfant
Agrandir
Pour le CEFRIO, les «C» sont les Québécois nés entre 1984 et 1996 qui communiquent, collaborent et créent grâce à l'internet.
Photothèque Le Soleil
Daphnée Dion-Viens
Le Soleil
(Québec) Après les générations X et Y, voici... la génération C. Cette nouvelle étiquette accolée à la génération des 12-24 ans désigne ces jeunes qui «communiquent, collaborent et créent» à l'aide des technologies de l'information. L'expression fera-t-elle boule de neige?
C'est du moins l'étiquette adoptée par le CEFRIO, le Centre francophone d'informatisation des organisations, qui organise cet automne un colloque international ayant pour thème «Êtes-vous prêt pour la génération C?».
Les «C», ce sont un million et demi de jeunes Québécois nés entre 1984 et 1996, qui sont tombés dans la marmite technologique quand ils étaient petits. La plupart ont grandi en pianotant sur un ordinateur à la maison, branché à l'internet.
D'ici 10 ans, ces jeunes représenteront 45 % des travailleurs au Canada. Les écoles, gouvernements et employeurs sont-ils prêts à les accueillir? C'est la question à laquelle tentera de répondre le CEFRIO, en livrant les résultats d'une vaste enquête sur les nouvelles technologies réalisée auprès des 12-24 ans.
«Notre hypothèse de départ est que ces jeunes se démarquent des autres générations par l'utilisation qu'ils font de la technologie, qui les transforme», explique Catherine Lamy, directrice de projet au CEFRIO.
En anglais aussi
L'étiquette «génération C» aurait été utilisée pour la première fois par les rédacteurs du site internet Trendwatching.com, en février 2004. L'expression réfère à ces internautes qui alimentent de «contenu» le Web 2.0, où pullulent les textes, photos et vidéos provenant des utilisateurs. Le centre des médias de l'American Press Institute décrit d'ailleurs la génération C comme étant celle qui «crée, produit et participe à l'information transmise dans une société branchée». L'expression a aussi été reprise sur d'autres sites internet, où le C fait référence en anglais à computer, click, connected... Le CEFRIO a adopté l'expression, jugée beaucoup plus évocatrice que la génération Y ou Z, qui succèdent à la génération X.
Sociologues
Mais reste à voir si l'expression fera tache d'huile. Les sociologues sont loin d'être unanimes à ce sujet. «C'est un peu n'importe quoi», lance Diane Pacom, sociologue à l'Université d'Ottawa, qui a mené plusieurs études sur les jeunes. «C'est une étiquette qui manque de nuances, c'est difficile de mettre des jeunes de 12 ans et de 24 ans dans la même catégorie.»
Mme Pacom rappelle qu'il y a toujours des dangers à apposer des étiquettes de la sorte. Cette génération est particulièrement difficile à cataloguer, puisqu'une de ses caractéristiques est la mobilité. «Les baby-boomers et les X avaient des caractéristiques beaucoup plus stables. Ces jeunes changent rapidement, ils s'adaptent vite et c'est encore plus difficile de les classifier ainsi», dit-elle.
L'utilisation des nouvelles technos est certainement une des caractéristiques importantes de cette génération, mais elle n'est certainement pas la seule, conclut Mme Pacom."
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Pour le CEFRIO, les «C» sont les Québécois nés entre 1984 et 1996 qui communiquent, collaborent et créent grâce à l'internet.
Photothèque Le Soleil
Daphnée Dion-Viens
Le Soleil
(Québec) Après les générations X et Y, voici... la génération C. Cette nouvelle étiquette accolée à la génération des 12-24 ans désigne ces jeunes qui «communiquent, collaborent et créent» à l'aide des technologies de l'information. L'expression fera-t-elle boule de neige?
C'est du moins l'étiquette adoptée par le CEFRIO, le Centre francophone d'informatisation des organisations, qui organise cet automne un colloque international ayant pour thème «Êtes-vous prêt pour la génération C?».
Les «C», ce sont un million et demi de jeunes Québécois nés entre 1984 et 1996, qui sont tombés dans la marmite technologique quand ils étaient petits. La plupart ont grandi en pianotant sur un ordinateur à la maison, branché à l'internet.
D'ici 10 ans, ces jeunes représenteront 45 % des travailleurs au Canada. Les écoles, gouvernements et employeurs sont-ils prêts à les accueillir? C'est la question à laquelle tentera de répondre le CEFRIO, en livrant les résultats d'une vaste enquête sur les nouvelles technologies réalisée auprès des 12-24 ans.
«Notre hypothèse de départ est que ces jeunes se démarquent des autres générations par l'utilisation qu'ils font de la technologie, qui les transforme», explique Catherine Lamy, directrice de projet au CEFRIO.
En anglais aussi
L'étiquette «génération C» aurait été utilisée pour la première fois par les rédacteurs du site internet Trendwatching.com, en février 2004. L'expression réfère à ces internautes qui alimentent de «contenu» le Web 2.0, où pullulent les textes, photos et vidéos provenant des utilisateurs. Le centre des médias de l'American Press Institute décrit d'ailleurs la génération C comme étant celle qui «crée, produit et participe à l'information transmise dans une société branchée». L'expression a aussi été reprise sur d'autres sites internet, où le C fait référence en anglais à computer, click, connected... Le CEFRIO a adopté l'expression, jugée beaucoup plus évocatrice que la génération Y ou Z, qui succèdent à la génération X.
Sociologues
Mais reste à voir si l'expression fera tache d'huile. Les sociologues sont loin d'être unanimes à ce sujet. «C'est un peu n'importe quoi», lance Diane Pacom, sociologue à l'Université d'Ottawa, qui a mené plusieurs études sur les jeunes. «C'est une étiquette qui manque de nuances, c'est difficile de mettre des jeunes de 12 ans et de 24 ans dans la même catégorie.»
Mme Pacom rappelle qu'il y a toujours des dangers à apposer des étiquettes de la sorte. Cette génération est particulièrement difficile à cataloguer, puisqu'une de ses caractéristiques est la mobilité. «Les baby-boomers et les X avaient des caractéristiques beaucoup plus stables. Ces jeunes changent rapidement, ils s'adaptent vite et c'est encore plus difficile de les classifier ainsi», dit-elle.
L'utilisation des nouvelles technos est certainement une des caractéristiques importantes de cette génération, mais elle n'est certainement pas la seule, conclut Mme Pacom."
Le recadrage la génération Y par B. Chaminade - Journal du Net - Recherche vidéo sur Truveo
A voir absolument ! Adapté au Québec, c'est encore pire ou mieux dans le sens que les patrons sont moins bloqués que les français mais les futurs emplyés ont encore plus tendance à partir, le besoin de main-d'oeuvre étant plus grand à tous les niveaux. Ajoutez à cela une crise qui a été moins forte au Québec qu'en Europe et vous avez des mots de tête pour les DRH.(JMR)
Le recadrage la génération Y par B. Chaminade - Journal du Net - Recherche vidéo sur Truveo: "Le recadrage la génération Y par B. Chaminade
Benjamin Chaminade, consultant en ressources humaines, revient sur les bonnes pratiques pour redresser la barre lorsqu'un jeune collaborateur dérape. La clé pour y parvenir sans heurt : avoir gagné auparavant sa confiance.
Publiée le : 15 décembre 2008"
Le recadrage la génération Y par B. Chaminade - Journal du Net - Recherche vidéo sur Truveo: "Le recadrage la génération Y par B. Chaminade
Benjamin Chaminade, consultant en ressources humaines, revient sur les bonnes pratiques pour redresser la barre lorsqu'un jeune collaborateur dérape. La clé pour y parvenir sans heurt : avoir gagné auparavant sa confiance.
Publiée le : 15 décembre 2008"
Québec Hebdo > Economie > Prêts pour la venue des C?
Québec Hebdo > Economie > Prêts pour la venue des C?: "Prêts pour la venue des C?
Luc Fournier par Luc Fournier
Voir tous les articles de Luc Fournier
Article mis en ligne le 13 mai 2009 à 15:27
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Prêts pour la venue des C?
Le colloque international sur la génération C, qui se tiendra à Québec à l’automne, tentera de démythifier cette nouvelle génération qui grandit au rythme des nouvelles technologies de l’information. (Photo Luc Fournier)
Prêts pour la venue des C?
Que les employeurs se préparent : après l’entrée dans le marché du travail de la génération Y, l’heure est déjà à se préparer pour la venu des C, soit les jeunes 12 à 24 ans. D’ici dix ans, ils représenteront 45% de la main-d'œuvre active du Canada, selon le CEFRIO.
Cette génération représente en fait un million et demi de Québécois nés entre 1984 et 1996. Ils ont donc, pour certain, déjà intégré le marché du travail, avec, parfois, tout l’attirail technologique qui vient avec.
Car c’est en ce sens que la lettre C s’impose; C comme communiquer, collaborer et créer.
C’est ainsi que les décideurs, professionnels, et gestionnaires pourront en savoir davantage sur cette génération en octobre prochain, lors d’un colloque international qui se tiendra les 20 et 21 octobre prochain au Centre des congrès de Québec.
On pourra voir entre autres quels seront les impacts de la montée de la génération C dans la société et comment s’adapter efficacement à leur arrivée dans le marché du travail.
Le CEFRIO y dévoilera une vaste enquête entreprise en 2008 sur les perceptions, les comportements et les usages technologiques des 12 à 24 ans."
Luc Fournier par Luc Fournier
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Article mis en ligne le 13 mai 2009 à 15:27
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Prêts pour la venue des C?
Le colloque international sur la génération C, qui se tiendra à Québec à l’automne, tentera de démythifier cette nouvelle génération qui grandit au rythme des nouvelles technologies de l’information. (Photo Luc Fournier)
Prêts pour la venue des C?
Que les employeurs se préparent : après l’entrée dans le marché du travail de la génération Y, l’heure est déjà à se préparer pour la venu des C, soit les jeunes 12 à 24 ans. D’ici dix ans, ils représenteront 45% de la main-d'œuvre active du Canada, selon le CEFRIO.
Cette génération représente en fait un million et demi de Québécois nés entre 1984 et 1996. Ils ont donc, pour certain, déjà intégré le marché du travail, avec, parfois, tout l’attirail technologique qui vient avec.
Car c’est en ce sens que la lettre C s’impose; C comme communiquer, collaborer et créer.
C’est ainsi que les décideurs, professionnels, et gestionnaires pourront en savoir davantage sur cette génération en octobre prochain, lors d’un colloque international qui se tiendra les 20 et 21 octobre prochain au Centre des congrès de Québec.
On pourra voir entre autres quels seront les impacts de la montée de la génération C dans la société et comment s’adapter efficacement à leur arrivée dans le marché du travail.
Le CEFRIO y dévoilera une vaste enquête entreprise en 2008 sur les perceptions, les comportements et les usages technologiques des 12 à 24 ans."
lundi 11 mai 2009
Mais qui est donc cette génération Y ?
Interview de Julien Pouget
Julien Pouget est consultant, spécialiste de la génération Y et fondateur du blog La Génération Y.Com
En quelques mots, définissons la génération Y :
En France, l'expression « Génération Y » désigne les personnes nées entre 1978 et 1994. Cette génération regroupe environ 13 millions de personnes soit environ 20% de la population française. Il s'agit de la génération la plus importante depuis la génération du baby-boom.
Les termes utilisés pour désigner cette génération varient.
On parle aussi d' « Echos Boomers » en référence au fait que beaucoup sont des enfants de baby-boomers. Les américains utilisent également l'expression « Digital Natives » pour pointer le fait que ces enfants sont nés avec un ordinateur."
LIRE CET ARTICLE SUR LE SITE "MEETING JOB"
Julien Pouget est consultant, spécialiste de la génération Y et fondateur du blog La Génération Y.Com
En quelques mots, définissons la génération Y :
En France, l'expression « Génération Y » désigne les personnes nées entre 1978 et 1994. Cette génération regroupe environ 13 millions de personnes soit environ 20% de la population française. Il s'agit de la génération la plus importante depuis la génération du baby-boom.
Les termes utilisés pour désigner cette génération varient.
On parle aussi d' « Echos Boomers » en référence au fait que beaucoup sont des enfants de baby-boomers. Les américains utilisent également l'expression « Digital Natives » pour pointer le fait que ces enfants sont nés avec un ordinateur."
LIRE CET ARTICLE SUR LE SITE "MEETING JOB"
mercredi 22 avril 2009
15-24 ans : l’anti-“bof génération” - En Kiosque - Lefigaro.fr/madame, l'univers féminin du Figaro.
"Blasés ? Pas du tout. Selon notre sondage exclusif Madame Figaro-CSA, les jeunes sont hypermotivés ! Au moment où Martin Hirsch, haut-commissaire à la Jeunesse, affine ses propositions pour l’emploi, nous avons voulu leur donner la parole. Face à la crise, ils sont bien plus optimistes qu’on ne l’imaginait.
Paru le 17.04.2009 , par Vicky Chahine, Viviane Chocas, Dalila Kerchouche et Emmanuelle Richard
Et s’ils nous donnaient la leçon ? Face à la crise, les 15-24 ans retroussent leurs manches. Avec des idées et de l’énergie à revendre, ils bâtissent des projets, convaincus que leur avenir passe par leurs propres capacités à inventer l’époque. Nous avons eu envie de leur donner la parole, d’entendre leurs aspirations autant que leur humeur. Notre sondage exclusif Madame Figaro-CSA révèle chez eux une ambition assumée et un optimisme lucide. Les adjectifs qui les définissent le mieux ?
Interrogés, les 15-24 ans placent en tête de liste « ambitieux » (35 %), « autonomes » (30 %) et « tranquilles » (30 %). Surprise : leurs aînés les croient d’abord… « inquiets » (à 53 %) et « révoltés » (à 47 %) ! Une des révélations de ce sondage est le décalage, parfois vertigineux, entre ce que les plus vieux imaginent, voire projettent, de leurs propres angoisses sur la jeune génération, et la réalité de ce que les jeunes vivent et ressentent. Quand leurs aînés pensent qu’ils rêvent de devenir fonctionnaires, les jeunes préfèrent s’imaginer monter une entreprise. Un jeune sur deux
(51 %) avance que la famille, avant tout, le rend heureux, mais… seulement 31 % des plus âgés osent encore y croire ! Les générations se rejoignent sur une priorité, celle du travail. Alors qu’en France un jeune sur cinq est au chômage (selon l’INSEE), c’est par le travail que les 15-24 ans souhaitent avant tout s’intégrer dans la société. On est bien loin de la caricaturale « bof génération »."
Paru le 17.04.2009 , par Vicky Chahine, Viviane Chocas, Dalila Kerchouche et Emmanuelle Richard
Et s’ils nous donnaient la leçon ? Face à la crise, les 15-24 ans retroussent leurs manches. Avec des idées et de l’énergie à revendre, ils bâtissent des projets, convaincus que leur avenir passe par leurs propres capacités à inventer l’époque. Nous avons eu envie de leur donner la parole, d’entendre leurs aspirations autant que leur humeur. Notre sondage exclusif Madame Figaro-CSA révèle chez eux une ambition assumée et un optimisme lucide. Les adjectifs qui les définissent le mieux ?
Interrogés, les 15-24 ans placent en tête de liste « ambitieux » (35 %), « autonomes » (30 %) et « tranquilles » (30 %). Surprise : leurs aînés les croient d’abord… « inquiets » (à 53 %) et « révoltés » (à 47 %) ! Une des révélations de ce sondage est le décalage, parfois vertigineux, entre ce que les plus vieux imaginent, voire projettent, de leurs propres angoisses sur la jeune génération, et la réalité de ce que les jeunes vivent et ressentent. Quand leurs aînés pensent qu’ils rêvent de devenir fonctionnaires, les jeunes préfèrent s’imaginer monter une entreprise. Un jeune sur deux
(51 %) avance que la famille, avant tout, le rend heureux, mais… seulement 31 % des plus âgés osent encore y croire ! Les générations se rejoignent sur une priorité, celle du travail. Alors qu’en France un jeune sur cinq est au chômage (selon l’INSEE), c’est par le travail que les 15-24 ans souhaitent avant tout s’intégrer dans la société. On est bien loin de la caricaturale « bof génération »."
lundi 6 avril 2009
Génération Web, la génération du gratuit - Culture - la-Croix.com
lire cet article in extenso du jounal français "La Croix"
Pour les jeunes, experts en piratage culturel, elles sont nombreuses les raisons qui les conduisent à se servir illégalement dans l’hyper marché virtuel des films et des disques. Paroles de lycéens parisiens
Ils ont entre 15 ans et 17 ans et fréquentent le lycée Charles-de-Foucauld, dans le 18e arrondissement de Paris, un de ces établissements melting-pot comme il en existe partout en France. Dans cette classe de seconde, combien sont-ils à savoir que désormais ils pourront pousser les portes des musées sans verser un centime d’euro ? Seulement trois élèves sur les 30 de la classe ont vaguement entendu parler de cette mesure mais, même si visiblement ce lieu ne les attire pas spécialement, tous trouvent l’idée plutôt bonne.
Premier argument avancé par ceux qui n’ont aucune obligation d’entrer dans un musée : à un âge où l’on compte ses sous, mieux vaut mesurer le risque d’en avoir pour son argent ! Le meilleur calcul étant encore de ne prendre aucun risque financier : « Au moins, si on n’aime pas, si on est déçu par ce que l’on voit, on ne regrettera pas d’avoir dépensé de l’argent », explique Margot.
Et quand l’option arts plastiques – une possibilité offerte par ce lycée – invite à fréquenter les œuvres exposées, alors là, la gratuité devient le juste prix de l’effort : « Ce sera bien de ne pas avoir à payer en plus, quand on ira au musée pour les études. » Enfin, quelques-uns pensent que la gratuité par elle-même a un pouvoir attractif : « Parce que c’est gratuit, on va y aller davantage… », ose Fady. L’avenir le dira.
Entre délinquance du clic et réflexion avertie"
Pour les jeunes, experts en piratage culturel, elles sont nombreuses les raisons qui les conduisent à se servir illégalement dans l’hyper marché virtuel des films et des disques. Paroles de lycéens parisiens
Ils ont entre 15 ans et 17 ans et fréquentent le lycée Charles-de-Foucauld, dans le 18e arrondissement de Paris, un de ces établissements melting-pot comme il en existe partout en France. Dans cette classe de seconde, combien sont-ils à savoir que désormais ils pourront pousser les portes des musées sans verser un centime d’euro ? Seulement trois élèves sur les 30 de la classe ont vaguement entendu parler de cette mesure mais, même si visiblement ce lieu ne les attire pas spécialement, tous trouvent l’idée plutôt bonne.
Premier argument avancé par ceux qui n’ont aucune obligation d’entrer dans un musée : à un âge où l’on compte ses sous, mieux vaut mesurer le risque d’en avoir pour son argent ! Le meilleur calcul étant encore de ne prendre aucun risque financier : « Au moins, si on n’aime pas, si on est déçu par ce que l’on voit, on ne regrettera pas d’avoir dépensé de l’argent », explique Margot.
Et quand l’option arts plastiques – une possibilité offerte par ce lycée – invite à fréquenter les œuvres exposées, alors là, la gratuité devient le juste prix de l’effort : « Ce sera bien de ne pas avoir à payer en plus, quand on ira au musée pour les études. » Enfin, quelques-uns pensent que la gratuité par elle-même a un pouvoir attractif : « Parce que c’est gratuit, on va y aller davantage… », ose Fady. L’avenir le dira.
Entre délinquance du clic et réflexion avertie"
vendredi 27 mars 2009
L'adolescent est de plus en plus stressé - UdeMNouvelles
L'adolescent est de plus en plus stressé - UdeMNouvelles: "Derrière leur allure décontractée, les jeunes d'aujourd'hui souffrent davantage de problèmes liés au stress que ceux des années 70.
Derrière leur allure décontractée, les jeunes d'aujourd'hui souffrent davantage de problèmes liés au stress que ceux des années 70.
À la clinique de médecine de l'adolescence du CHU Sainte-Justine, on accueille de plus en plus de jeunes souffrant de maux de dos ou de ventre si violents qu'ils clouent le malade au lit. D'autres sont complètement paralysés, incapables de tenir sur leurs jambes. Ils ne fréquentent plus l'école depuis plusieurs semaines. Ils ont été examinés par deux, quatre, six médecins, qui ne sont pas parvenus à poser le moindre diagnostic.
Ces jeunes sont atteints de «troubles somatophobes» (de somatophobie, étymologiquement «haine du corps»), qu'on appelait naguère «maladies psychosomatiques». «Dans certains cas, le seul fait de discuter avec un membre de notre équipe interdisciplinaire permet de trouver un fait marquant à l'origine du malaise. Ça peut être un traumatisme à l'école ou un évènement qui a semblé, sur le coup, sans conséquence», commente le Dr Jean-Yves Frappier, qui a consacré les 30 dernières années de sa vie professionnelle à la médecine de l'adolescence.
Selon lui, les jeunes d'aujourd'hui souffrent davantage de problèmes liés à l'angoisse et au stress que ceux des années 70. «À mes débuts, on voyait rarement des garçons ou des filles nous arriver avec des symptômes d'anxiété. De nos jours, on voit cela presque quotidiennement.»"
Derrière leur allure décontractée, les jeunes d'aujourd'hui souffrent davantage de problèmes liés au stress que ceux des années 70.
À la clinique de médecine de l'adolescence du CHU Sainte-Justine, on accueille de plus en plus de jeunes souffrant de maux de dos ou de ventre si violents qu'ils clouent le malade au lit. D'autres sont complètement paralysés, incapables de tenir sur leurs jambes. Ils ne fréquentent plus l'école depuis plusieurs semaines. Ils ont été examinés par deux, quatre, six médecins, qui ne sont pas parvenus à poser le moindre diagnostic.
Ces jeunes sont atteints de «troubles somatophobes» (de somatophobie, étymologiquement «haine du corps»), qu'on appelait naguère «maladies psychosomatiques». «Dans certains cas, le seul fait de discuter avec un membre de notre équipe interdisciplinaire permet de trouver un fait marquant à l'origine du malaise. Ça peut être un traumatisme à l'école ou un évènement qui a semblé, sur le coup, sans conséquence», commente le Dr Jean-Yves Frappier, qui a consacré les 30 dernières années de sa vie professionnelle à la médecine de l'adolescence.
Selon lui, les jeunes d'aujourd'hui souffrent davantage de problèmes liés à l'angoisse et au stress que ceux des années 70. «À mes débuts, on voyait rarement des garçons ou des filles nous arriver avec des symptômes d'anxiété. De nos jours, on voit cela presque quotidiennement.»"
vendredi 6 mars 2009
La maîtrise des technologies ne rend pas invulnérable
"Les 19-30 ans qui sont à l'aise avec les technologies du web deuxième génération se considèrent souvent hors d'atteinte en ce qui concerne le vol d'identité. C'est faux.
Publié le 05 Mars 2009
La génération Y est celle qui laisse le plus grand nombre de données personnelles en circulation sur le Net. Malgré cela, elle est aussi celle qui se préoccupe le moins des problèmes de vol d'identité. Ce, malgré les risques encourus, rappelle la division Web Intelligence de JD Power and Associates. Pourquoi une telle étude ? Pour que les professionnels des services financiers, de la banque et des assurances aient un panorama des pratiques de leurs clients et puissent adapter leur gestion du risque. Dans son étude, le cabinet explique ainsi que moins de la moitié des 19-30 ans se sent concernée par le problème. Souvent férues de technologies, ces jeunes générations disposent en effet d'ordinateurs mieux protégés et sont plus aptes à reconnaître une tentative d'hameçonnage que leurs homologues des générations précédentes.
Une maîtrise différente des technologies
Autant de pratiques qui ne les protègent cependant pas complètement : 'L'importance de leur présence en ligne les rend vulnérables au vol d'identité et de fraude', souligne ainsi Carter Truong, manager pour le cabinet. Au contraire, le cabinet annonce que plus de quatre internautes sur cinq de la génération des baby boomers et presque autant dans la catégorie 31-44 ans se sentent très concernés par la question. 'La différence du degré de préoccupation entre ces différentes générations peut être partiellement attribuée aux niveaux de maîtrise différents des technologies'. Inutile du coup de chercher à instaurer des règles communes. Tous ces internautes ont cependant un point en commun : leur demander de distribuer un nombre limité d'informations est perçu comme une censure de leur identité.
Activer les options de vie privée et faire gérer ses comptes"
lire l'article
Publié le 05 Mars 2009
La génération Y est celle qui laisse le plus grand nombre de données personnelles en circulation sur le Net. Malgré cela, elle est aussi celle qui se préoccupe le moins des problèmes de vol d'identité. Ce, malgré les risques encourus, rappelle la division Web Intelligence de JD Power and Associates. Pourquoi une telle étude ? Pour que les professionnels des services financiers, de la banque et des assurances aient un panorama des pratiques de leurs clients et puissent adapter leur gestion du risque. Dans son étude, le cabinet explique ainsi que moins de la moitié des 19-30 ans se sent concernée par le problème. Souvent férues de technologies, ces jeunes générations disposent en effet d'ordinateurs mieux protégés et sont plus aptes à reconnaître une tentative d'hameçonnage que leurs homologues des générations précédentes.
Une maîtrise différente des technologies
Autant de pratiques qui ne les protègent cependant pas complètement : 'L'importance de leur présence en ligne les rend vulnérables au vol d'identité et de fraude', souligne ainsi Carter Truong, manager pour le cabinet. Au contraire, le cabinet annonce que plus de quatre internautes sur cinq de la génération des baby boomers et presque autant dans la catégorie 31-44 ans se sentent très concernés par la question. 'La différence du degré de préoccupation entre ces différentes générations peut être partiellement attribuée aux niveaux de maîtrise différents des technologies'. Inutile du coup de chercher à instaurer des règles communes. Tous ces internautes ont cependant un point en commun : leur demander de distribuer un nombre limité d'informations est perçu comme une censure de leur identité.
Activer les options de vie privée et faire gérer ses comptes"
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mardi 3 mars 2009
Gestion RH des 18-30 ans (Génération Y) : les 5 erreurs de base (4/5) « La Génération Y .com
"Les statistiques récentes de l’Institut Pew n’ont fait que confirmer l’intuition générale : la Génération Y est massivement présente en ligne.
Plus que les autres, elle fréquente les sites de réseaux sociaux (FaceBook, Myspace, etc.), y crée des profils, utilise le microbloging, regarde des vidéos en ligne etc. Le diaporama ci-dessous présente quelques statistiques marquantes de l’étude qui illustrent à quel point les technologies de l’information et de la communication (T.I.C) sont devenues partie intégrante de la réalité de cette génération.
Hélas, le décalage culturel lors de l’entrée dans l’entreprise n’en est que plus brutal. A leur arrivée, les jeunes découvrent souvent avec incrédulité les innombrables interdictions liées aux technologies : interdiction de consulter sa messagerie personnelles, de lire une vidéo, de consulter un blog, de chatter, etc."
lire la suite
Plus que les autres, elle fréquente les sites de réseaux sociaux (FaceBook, Myspace, etc.), y crée des profils, utilise le microbloging, regarde des vidéos en ligne etc. Le diaporama ci-dessous présente quelques statistiques marquantes de l’étude qui illustrent à quel point les technologies de l’information et de la communication (T.I.C) sont devenues partie intégrante de la réalité de cette génération.
Hélas, le décalage culturel lors de l’entrée dans l’entreprise n’en est que plus brutal. A leur arrivée, les jeunes découvrent souvent avec incrédulité les innombrables interdictions liées aux technologies : interdiction de consulter sa messagerie personnelles, de lire une vidéo, de consulter un blog, de chatter, etc."
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Génération Y : le top 10 des sites sociaux
by Emilie Ogez on 02/25/2009 01:11 0 comments , 57 views
Catégories: Social Software, Web 2.0, Social Media
Pour Dan Schawbel, la génération Y est fan de Facebook. Mais ce n’est pas le seul site social qui parle à ces jeunes, qui leur correspond et où ils peuvent se retrouver. Il y en a d’autres. Il donne son Top 10 :
1. BrazenCareerist.com : “The most valuable Gen-Y network” he belongs.
2. 20 Somethings on Ning : “one Ning network dedicated specifically to Gen-Y�??ers”"
pour consulter la liste surprenante, des dix sites sociaux consultés par la génération y
Catégories: Social Software, Web 2.0, Social Media
Pour Dan Schawbel, la génération Y est fan de Facebook. Mais ce n’est pas le seul site social qui parle à ces jeunes, qui leur correspond et où ils peuvent se retrouver. Il y en a d’autres. Il donne son Top 10 :
1. BrazenCareerist.com : “The most valuable Gen-Y network” he belongs.
2. 20 Somethings on Ning : “one Ning network dedicated specifically to Gen-Y�??ers”"
pour consulter la liste surprenante, des dix sites sociaux consultés par la génération y
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vendredi 27 février 2009
Génération Y : les 15 - 30 ans (20% de la population).
:: La Seine et Marne ::
"mercredi 25 février 2009
Génération Y...
Elle remplace les papy-boomers. Ce sont les 15 - 30 ans, 20% de la population, avec eux, de nouveaux usages, de nouvelles valeurs. Une nouvelle génération qui fonctionne à sa manière.
La génération Y, appelée également Génération du millénaire, Génération numérique ou encore Why-er, a pour elle d’avoir déjà connu les parents divorcé, les familles mono-parentales. A ce titre, ils ont tout ce qu’ils ont voulu. Génération 'cadeau' facile.
Les problèmes de notre monde, ils sont nés avec le Sida, la couche d’ozone, le réchauffement de la planète, le pétrole cher, le chômage.
Génération des média, ils sont né avec Internet. Tout, tout de suite. La sur information, la télé as been. Génération de l’information, génération de l’impatience, du portable, de la console de jeu."
lire la suite
"mercredi 25 février 2009
Génération Y...
Elle remplace les papy-boomers. Ce sont les 15 - 30 ans, 20% de la population, avec eux, de nouveaux usages, de nouvelles valeurs. Une nouvelle génération qui fonctionne à sa manière.
La génération Y, appelée également Génération du millénaire, Génération numérique ou encore Why-er, a pour elle d’avoir déjà connu les parents divorcé, les familles mono-parentales. A ce titre, ils ont tout ce qu’ils ont voulu. Génération 'cadeau' facile.
Les problèmes de notre monde, ils sont nés avec le Sida, la couche d’ozone, le réchauffement de la planète, le pétrole cher, le chômage.
Génération des média, ils sont né avec Internet. Tout, tout de suite. La sur information, la télé as been. Génération de l’information, génération de l’impatience, du portable, de la console de jeu."
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jeudi 19 février 2009
David BERNARD: Generation Y... Faut-il tout leur passer ?
Sur son blog, le professeur Bernard psychologue du travail se demande s'il faut tout permettre aux nouveaux arrivants de la génération y .
Lire son blog . Vous rendre à l'article complet...
Lire son blog . Vous rendre à l'article complet...
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Un site incontournable
Le site "La Génération Y" est un incontournable pour être tenu au courant de ce qui se dit sur cette tranche de la population.
Cette semaine, une video nous est relayée de l'Université de Harvard sur comment "manager" ce groupe .
Cette semaine, une video nous est relayée de l'Université de Harvard sur comment "manager" ce groupe .
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lundi 9 février 2009
l’internet est en passe de dépasser la télévision comme principale source d’information des jeunes américains âgés de 18 à 29 ans
(tableaux et diagrammes ici)
28 janvier 2009 par Julien Pouget (lagenerationy.com)
La statistique du jour ne surprendra vraisemblablement pas ceux qui lisent ces lignes mais elle mérite d’être soulignée : l’internet est en passe de dépasser la télévision comme principale source d’information des jeunes américains âgés de 18 à 29 ans (qui constituent ce que l’on appelle la Génération Y). Comme le montre le schéma ci-dessous, la progression de l’internet est vertigineuse (+ 25 points entre 2007 et 2008).
A n’en pas douter, ces statistiques américaines s’appliquent à bon nombre de pays occidentaux dont la France et vont bouleverser les stratégies de communication de l’ensemble des acteurs publics (politiques, administrations, ..) et privés (recruteurs, publicitaires).
sources-dinfo-geny-us1
Comparées aux données générales sur les sources d’information (schéma en anglais ci-dessous), elles mettent en lumière la spécificité de la génération Y qui, sur le plan de l’information comme sur beaucoup d’autres à décidément choisi de rebattre les cartes…
source-info
Publié dans Brèves - Actualités, Chiffres - Statistiques | Taggé génération Y, Sources d'information de la génération Y, Statistiques génération Y | Un commentaire
Une réponse vers «Génération Y = Net Generation (1/5)»
1.
sur 29 janvier 2009 à 6:10 Génération Y = Net Generation (2/5) « La Génération Y .com
[...] -Génération Y = Net Generation (1/5) [...]
28 janvier 2009 par Julien Pouget (lagenerationy.com)
La statistique du jour ne surprendra vraisemblablement pas ceux qui lisent ces lignes mais elle mérite d’être soulignée : l’internet est en passe de dépasser la télévision comme principale source d’information des jeunes américains âgés de 18 à 29 ans (qui constituent ce que l’on appelle la Génération Y). Comme le montre le schéma ci-dessous, la progression de l’internet est vertigineuse (+ 25 points entre 2007 et 2008).
A n’en pas douter, ces statistiques américaines s’appliquent à bon nombre de pays occidentaux dont la France et vont bouleverser les stratégies de communication de l’ensemble des acteurs publics (politiques, administrations, ..) et privés (recruteurs, publicitaires).
sources-dinfo-geny-us1
Comparées aux données générales sur les sources d’information (schéma en anglais ci-dessous), elles mettent en lumière la spécificité de la génération Y qui, sur le plan de l’information comme sur beaucoup d’autres à décidément choisi de rebattre les cartes…
source-info
Publié dans Brèves - Actualités, Chiffres - Statistiques | Taggé génération Y, Sources d'information de la génération Y, Statistiques génération Y | Un commentaire
Une réponse vers «Génération Y = Net Generation (1/5)»
1.
sur 29 janvier 2009 à 6:10 Génération Y = Net Generation (2/5) « La Génération Y .com
[...] -Génération Y = Net Generation (1/5) [...]
jeudi 5 février 2009
Alors, ces “Y”…des zappers ? | Generation Y 2.0
Generation Y 2.0: "Lors de mon intervention à la nuit des métiers, j’ai décrit les Y comme étant des Zappeurs et des Tanguys. Bien sur l’objectif était de faire réagir la salle. Le terme de zappeur a fait mouche et en a fait bondir certains. Alors, est ce que les “Y” ont la culture du zapping dans le sang ?
A en écouter journalistes, chefs d’entreprises et managers, la génération Y rassemblerait tous les vilain petits canards de l’engagement en entreprise. Si cette description peut être juste, elle n’en est pas une caractéristique pour autant ! Plutôt un symptôme : Il ne s’agit pas d’une perte particulière de loyauté ou d’engagement mais plutôt d’une évolution des priorités.
Ces priorités dépendent entièrement de son point de vue. Commençons par exemple avec la famille. Comment encore croire à l’amour éternel et aux saints sacrements du mariage quand le nombre de divorces a été multiplié par 3,5 depuis 1970 tandis que le nombre de mariages a diminué de 30% durant la même période ? Si 10% des mariages en 1970 s’achevaient en divorce, il y en a eu 49% en 2007 selon l’Insee (il y a eu 273 669 mariages pour 134 477 en 2007). Et ainsi le nombre de familles monoparentales (20% des familles) et recomposées (concernant 800 000 enfants) devait commencer à croître.
Ne pouvant plus croire en la famille que reste t’il ? Voyons. Ah mais c’est bien sur: l’entreprise!
Sauf que depuis la fin des années 70 les entreprises ne sont plus en odeur de sainteté non plus ! A écouter les journaux, les licenciements ne se sont jamais arrêtés et les patrons ne rêvent que d’une seule chose : délocaliser en Chine pour maximiser leur profits tout en pouvant toucher des parachutes dorés en cas d’échec. Pas de quoi améliorer la confiance des salariés dans l’entreprise ! Et pas que des plus jeunes ! Rappelez-vous à ce sujet cette enquête de l’AACC et opinion way.
Les générations précédentes considéraient que ce qui était acquis le serait toujours, que leur relation était “privilégiée” avec leur entreprise car après tout elles avaient investi nombre d’année dans leur entreprise. Le réveil a été pénible. Aujourd’hui la confiance en l’entreprise ne peut se faire que par projet et la promesse d’emploi par le maintien de l’employabilité.
Alors voyons de nouveau, que reste t’il de tangible et de solide ? humm. Le métier peut être ?"
A en écouter journalistes, chefs d’entreprises et managers, la génération Y rassemblerait tous les vilain petits canards de l’engagement en entreprise. Si cette description peut être juste, elle n’en est pas une caractéristique pour autant ! Plutôt un symptôme : Il ne s’agit pas d’une perte particulière de loyauté ou d’engagement mais plutôt d’une évolution des priorités.
Ces priorités dépendent entièrement de son point de vue. Commençons par exemple avec la famille. Comment encore croire à l’amour éternel et aux saints sacrements du mariage quand le nombre de divorces a été multiplié par 3,5 depuis 1970 tandis que le nombre de mariages a diminué de 30% durant la même période ? Si 10% des mariages en 1970 s’achevaient en divorce, il y en a eu 49% en 2007 selon l’Insee (il y a eu 273 669 mariages pour 134 477 en 2007). Et ainsi le nombre de familles monoparentales (20% des familles) et recomposées (concernant 800 000 enfants) devait commencer à croître.
Ne pouvant plus croire en la famille que reste t’il ? Voyons. Ah mais c’est bien sur: l’entreprise!
Sauf que depuis la fin des années 70 les entreprises ne sont plus en odeur de sainteté non plus ! A écouter les journaux, les licenciements ne se sont jamais arrêtés et les patrons ne rêvent que d’une seule chose : délocaliser en Chine pour maximiser leur profits tout en pouvant toucher des parachutes dorés en cas d’échec. Pas de quoi améliorer la confiance des salariés dans l’entreprise ! Et pas que des plus jeunes ! Rappelez-vous à ce sujet cette enquête de l’AACC et opinion way.
Les générations précédentes considéraient que ce qui était acquis le serait toujours, que leur relation était “privilégiée” avec leur entreprise car après tout elles avaient investi nombre d’année dans leur entreprise. Le réveil a été pénible. Aujourd’hui la confiance en l’entreprise ne peut se faire que par projet et la promesse d’emploi par le maintien de l’employabilité.
Alors voyons de nouveau, que reste t’il de tangible et de solide ? humm. Le métier peut être ?"
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mardi 13 janvier 2009
» Génération Y, génération zapping - Blog de NetPME
Génération Y, génération zapping
Par Vanina DELOBELLE le 12 janvier 2009
Management
Création d'entreprise, les chiffres qu'il vaut mieux connaîtrePour savoir ce qu’est la génération Y, je vous renvoie à cet excellent blog qui vous dira tout sur le sujet.
Cette fameuse génération Y, mais que veut-elle donc ? Pourquoi fait-elle tant couler d’encre ? Et bien tout simplement parce qu’elle change les schémas traditionnels du travail. L’entreprise doit s’adapter à ces nouveaux usages, elle doit les intégrer et avancer avec, sous peine de laisser passer bon nombre de talents. Aussi comment le salarié conçoit-il son travail aujourd’hui ?
* Il sait beaucoup de choses, il est à la pointe des technologies et en veille constante.
* La hiérarchie a beaucoup moins de valeur. Les organisations sont plus planes.
* Il est ambitieux et veut vite arriver à ses fins.
* Il a besoin de changements et ne peut pas supporter de ne pas évoluer rapidement.
* Il attend une reconnaissance rapide. Il fait très vite ses preuves et n’attendra pas des années des potentielles promotions.
* Il est plus flexible et davantage disposé à bouger, le monde est son terrain de jeu.
* L’avenir c’est lui qui le décide et pas l’entreprise.
* Il est prêt à fortement s’engager mais avec un retour.
* Il a souvent des projets personnels en dehors du travail.
* Il est constamment connecté et communique sur tout.
* Il a beaucoup d’éthique et n’est pas prêt à écraser tout sur son passage pour réussir.
* Il conçoit son travail avec beaucoup de passion et ne sera pas prêt à supporter les tempêtes de façon passive.
* Il ne regardera pas ses heures mais attendra un retour.
Par Vanina DELOBELLE le 12 janvier 2009
Management
Création d'entreprise, les chiffres qu'il vaut mieux connaîtrePour savoir ce qu’est la génération Y, je vous renvoie à cet excellent blog qui vous dira tout sur le sujet.
Cette fameuse génération Y, mais que veut-elle donc ? Pourquoi fait-elle tant couler d’encre ? Et bien tout simplement parce qu’elle change les schémas traditionnels du travail. L’entreprise doit s’adapter à ces nouveaux usages, elle doit les intégrer et avancer avec, sous peine de laisser passer bon nombre de talents. Aussi comment le salarié conçoit-il son travail aujourd’hui ?
* Il sait beaucoup de choses, il est à la pointe des technologies et en veille constante.
* La hiérarchie a beaucoup moins de valeur. Les organisations sont plus planes.
* Il est ambitieux et veut vite arriver à ses fins.
* Il a besoin de changements et ne peut pas supporter de ne pas évoluer rapidement.
* Il attend une reconnaissance rapide. Il fait très vite ses preuves et n’attendra pas des années des potentielles promotions.
* Il est plus flexible et davantage disposé à bouger, le monde est son terrain de jeu.
* L’avenir c’est lui qui le décide et pas l’entreprise.
* Il est prêt à fortement s’engager mais avec un retour.
* Il a souvent des projets personnels en dehors du travail.
* Il est constamment connecté et communique sur tout.
* Il a beaucoup d’éthique et n’est pas prêt à écraser tout sur son passage pour réussir.
* Il conçoit son travail avec beaucoup de passion et ne sera pas prêt à supporter les tempêtes de façon passive.
* Il ne regardera pas ses heures mais attendra un retour.
jeudi 8 janvier 2009
Managing young workers in the downturn | Generation Y goes to work | The Economist
Generation Y goes to work
Dec 30th 2008 | SAN FRANCISCO
From The Economist print edition
Reality bites for young workers
JESSICA BUCHSBAUM first noticed that something had changed in May 2008. The head of recruitment for a law firm in Florida, Ms Buchsbaum was used to interviewing young candidates for summer internships who seemed to think that the world owed them a living. Many applicants expected the firm to promote itself to them rather than the other way around. However, last May’s crop were far more humble. “The tone had changed from ‘What can you do for me?’ to ‘Here’s what I can do for you’,” she says.
The global downturn has been a brutal awakening for the youngest members of the workforce—variously dubbed “the Millennials”, “Generation Y” or “the Net Generation” by social researchers. “Net Geners” are, roughly, people born in the 1980s and 1990s. Those old enough to have passed from school and university into work had got used to a world in which jobs were plentiful and firms fell over one another to recruit them. Now their prospects are grimmer. According to America’s Bureau of Labour Statistics, the unemployment rate among people in their 20s increased significantly in the two most recent recessions in the United States. It is likely to do so again as industries such as finance and technology, which employ lots of young people, axe thousands of jobs.
This is creating new problems for managers. Because of the downturn, Net Geners are finding it harder to hop to new jobs. At the same time, their dissatisfaction is growing as crisis-hit firms adopt more of a command-and-control approach to management—the antithesis of the open, collaborative style that young workers prefer. Less autonomy and more directives have sparked complaints among Net Geners that offices and factories have become “pressure cookers” and “boiler rooms”. “The recession is creating lower turnover, but also higher frustration among young people stuck in jobs,” warns Cam Marston, a consultant who advises companies on inter-generational matters.
Such griping may reinforce the stereotype of young workers as being afraid of hard work—more American Idle than American Idol. Yet a survey of 4,200 young graduates from 44 countries published in December by PricewaterhouseCoopers, a consultancy, found that they want many of the same things from work as previous generations, including long tenure with a small number of employers. And they are willing to put in the hours to get them, if they are treated well.
Indeed, Net Geners may be just the kind of employees that companies need to help them deal with the recession’s hazards. For one thing, they are accomplished at juggling many tasks at once. For another, they are often eager to move to new roles or countries at the drop of a hat—which older workers with families and other commitments may find harder to do. Such flexibility can be a boon in difficult times. “In the economic downturn what we are really looking for is hungry 25- to 35-year-olds who are willing to travel,” says Frank Meehan, the boss of a fast-growing mobile-phone applications business that is part of Hutchison Whampoa, a conglomerate based in Hong Kong.
Net Geners’ knowledge of internet technology can also help companies save money. Consider the case of Best Buy, a big American consumer-electronics retailer. Keen to create a new employee portal, the firm contacted an external consultancy that quoted it a price of several million dollars. Shocked by this, a group of young Best Buy employees put together a small team of developers from their own networks who produced a new portal for about $250,000. Another Net Gener at the company cobbled together a mobile-phone version of Best Buy’s website for fun in seven days in his spare time.
Best Buy, which announced in December that its third-quarter profit had fallen by 77% compared with the same period a year earlier, is also betting that its Net Geners can come up with new ways of boosting sales using the web and other means. “We’ll weather the storm and be stronger because of the Net Generation,” says Michele Azar, Best Buy’s head of internet strategy. Estée Lauder, a cosmetics firm, is also encouraging Net Geners to help it innovate. It has launched an initiative called iForce which brings together young staff to dream up ways of marketing products using emerging technologies.
Programmes such as iForce are based on the notion that Net Geners are well placed to encourage their peers to dip into their pockets. According to a recent survey by the Economist Intelligence Unit, a sister company of The Economist, Net Geners place more emphasis on personal recommendations than on brands when deciding which products and services to buy. Hence the importance of hanging on to clever youngsters who have grown up with Facebook, MySpace and so forth, and who know how best to create buzz among their peers.
Net Geners who find themselves out of a job are likely to use the same know-how to create a buzz about themselves so they can find another one. Charlotte Gardner, a 25-year-old Californian who was made redundant by a financial-services firm in November, has since been using online job and social-networking sites, as well as micro-blogging services such as Twitter, to promote her skills to potential employers. Ms Gardner, who is optimistic she will find another job soon, describes herself as “a glue kid”—someone who can get different kinds of people to work well together.
Firms battling through the recession will need plenty of “glue managers” who can persuade Net Geners to stick around and work with their colleagues on important projects. They will need to provide regular feedback to young staff on what is happening in the workplace and why—as well as plenty of coaching on their performance (see article). Companies that keep Net Geners in the dark will find themselves the targets of unflattering criticism both inside the firm and online. “These kids will scrutinise companies like never before,” explains Don Tapscott, the author of several books on the Net Generation.
In the end, compromises will have to be made on both sides. Younger workers will have to accept that in difficult times decisions will be taken more crisply and workloads will increase. Their managers, meanwhile, will have to make an extra effort to keep Net Geners engaged and motivated. Firms that cannot pull off this balancing act could see an exodus of young talent once the economy improves. That, to borrow from Net Geners’ text-message shorthand, would be a huge WOMBAT: a waste of money, brains and time.
Dec 30th 2008 | SAN FRANCISCO
From The Economist print edition
Reality bites for young workers
JESSICA BUCHSBAUM first noticed that something had changed in May 2008. The head of recruitment for a law firm in Florida, Ms Buchsbaum was used to interviewing young candidates for summer internships who seemed to think that the world owed them a living. Many applicants expected the firm to promote itself to them rather than the other way around. However, last May’s crop were far more humble. “The tone had changed from ‘What can you do for me?’ to ‘Here’s what I can do for you’,” she says.
The global downturn has been a brutal awakening for the youngest members of the workforce—variously dubbed “the Millennials”, “Generation Y” or “the Net Generation” by social researchers. “Net Geners” are, roughly, people born in the 1980s and 1990s. Those old enough to have passed from school and university into work had got used to a world in which jobs were plentiful and firms fell over one another to recruit them. Now their prospects are grimmer. According to America’s Bureau of Labour Statistics, the unemployment rate among people in their 20s increased significantly in the two most recent recessions in the United States. It is likely to do so again as industries such as finance and technology, which employ lots of young people, axe thousands of jobs.
This is creating new problems for managers. Because of the downturn, Net Geners are finding it harder to hop to new jobs. At the same time, their dissatisfaction is growing as crisis-hit firms adopt more of a command-and-control approach to management—the antithesis of the open, collaborative style that young workers prefer. Less autonomy and more directives have sparked complaints among Net Geners that offices and factories have become “pressure cookers” and “boiler rooms”. “The recession is creating lower turnover, but also higher frustration among young people stuck in jobs,” warns Cam Marston, a consultant who advises companies on inter-generational matters.
Such griping may reinforce the stereotype of young workers as being afraid of hard work—more American Idle than American Idol. Yet a survey of 4,200 young graduates from 44 countries published in December by PricewaterhouseCoopers, a consultancy, found that they want many of the same things from work as previous generations, including long tenure with a small number of employers. And they are willing to put in the hours to get them, if they are treated well.
Indeed, Net Geners may be just the kind of employees that companies need to help them deal with the recession’s hazards. For one thing, they are accomplished at juggling many tasks at once. For another, they are often eager to move to new roles or countries at the drop of a hat—which older workers with families and other commitments may find harder to do. Such flexibility can be a boon in difficult times. “In the economic downturn what we are really looking for is hungry 25- to 35-year-olds who are willing to travel,” says Frank Meehan, the boss of a fast-growing mobile-phone applications business that is part of Hutchison Whampoa, a conglomerate based in Hong Kong.
Net Geners’ knowledge of internet technology can also help companies save money. Consider the case of Best Buy, a big American consumer-electronics retailer. Keen to create a new employee portal, the firm contacted an external consultancy that quoted it a price of several million dollars. Shocked by this, a group of young Best Buy employees put together a small team of developers from their own networks who produced a new portal for about $250,000. Another Net Gener at the company cobbled together a mobile-phone version of Best Buy’s website for fun in seven days in his spare time.
Best Buy, which announced in December that its third-quarter profit had fallen by 77% compared with the same period a year earlier, is also betting that its Net Geners can come up with new ways of boosting sales using the web and other means. “We’ll weather the storm and be stronger because of the Net Generation,” says Michele Azar, Best Buy’s head of internet strategy. Estée Lauder, a cosmetics firm, is also encouraging Net Geners to help it innovate. It has launched an initiative called iForce which brings together young staff to dream up ways of marketing products using emerging technologies.
Programmes such as iForce are based on the notion that Net Geners are well placed to encourage their peers to dip into their pockets. According to a recent survey by the Economist Intelligence Unit, a sister company of The Economist, Net Geners place more emphasis on personal recommendations than on brands when deciding which products and services to buy. Hence the importance of hanging on to clever youngsters who have grown up with Facebook, MySpace and so forth, and who know how best to create buzz among their peers.
Net Geners who find themselves out of a job are likely to use the same know-how to create a buzz about themselves so they can find another one. Charlotte Gardner, a 25-year-old Californian who was made redundant by a financial-services firm in November, has since been using online job and social-networking sites, as well as micro-blogging services such as Twitter, to promote her skills to potential employers. Ms Gardner, who is optimistic she will find another job soon, describes herself as “a glue kid”—someone who can get different kinds of people to work well together.
Firms battling through the recession will need plenty of “glue managers” who can persuade Net Geners to stick around and work with their colleagues on important projects. They will need to provide regular feedback to young staff on what is happening in the workplace and why—as well as plenty of coaching on their performance (see article). Companies that keep Net Geners in the dark will find themselves the targets of unflattering criticism both inside the firm and online. “These kids will scrutinise companies like never before,” explains Don Tapscott, the author of several books on the Net Generation.
In the end, compromises will have to be made on both sides. Younger workers will have to accept that in difficult times decisions will be taken more crisply and workloads will increase. Their managers, meanwhile, will have to make an extra effort to keep Net Geners engaged and motivated. Firms that cannot pull off this balancing act could see an exodus of young talent once the economy improves. That, to borrow from Net Geners’ text-message shorthand, would be a huge WOMBAT: a waste of money, brains and time.
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lundi 5 janvier 2009
D’après une étude de Serena Software sur les Mashers, les aptitudes technologiques constituent un véritable atout pour les jeunes femmes de la générat
Un questionnaire gratuit évalue le mode d’utilisation des technologies
dans la vie quotidienne
Paris — 2 Juin 2008 —Habituées des réseaux sociaux et très ouvertes aux technologies, les jeunes représentantes de la génération Y disposent d’un atout de poids sur le marché du travail: elles sont, en effet, considérées comme des « Mashers fortuits », l’un des cinq profils de Mashers caractérisant les adopteurs précoces de technologies, d’après une nouvelle étude commanditée par Serena Software. Aux Etats-Unis, 700 adopteurs précoces ont ainsi été interrogés afin d’identifier des traits distinctifs dans leur approche des technologies, leur travail, leur mode de vie, leur personnalité et leurs caractéristiques socio-démographiques. D’après Serena, au vu des résultats de l’étude, un Masher est une personne capable d’utiliser les technologies pour améliorer sa productivité, dans sa vie personnelle comme dans son travail. Ce questionnaire gratuit (disponible à l’adresse http://apps.facebook.com/masher_quiz) est ouvert à quiconque souhaite connaître son mode d’utilisation des technologies au quotidien.
La société Serena Software, leader de la gestion du cycle de vie applicatif (ALM) et célèbre pour ses Business Mashups et les Vendredis Facebook de son personnel, a décidé de faire réaliser cette étude car elle est convaincue que la connaissance des réseaux sociaux acquise en ligne par la génération Y contribuera autant à sa réussite professionnelle que ses études. Une enquête récente de l’agence de reclassement Challenger Gray & Christmas a montré que, malgré la récession, de nombreux employeurs prévoyaient d’embaucher des diplômés de l’enseignement supérieur cette année : 22 % des entreprises américaines pensent recruter plus de diplômés qu’en 2007, et 46 % envisagent d’en recruter le même nombre. S’appuyant sur une analyse de Forrester portant sur les jeunes et les réseaux sociaux (« Youth and Social Networks », Forrester Research, Inc., janvier 2008) qui indique que les jeunes femmes sont plus portées à exprimer leur personnalité sur les sites communautaires de réseaux sociaux que leurs homologues masculins (44 % contre 35 %), Serena suggère que les représentantes de la génération Y contribueront à lutter contre le stéréotype du « techie » en établissant de nouvelles méthodes efficaces de collaboration.
« Les femmes n’ont plus besoin d’avoir un diplôme d’ingénieur ou de travailler dans un service informatique pour apporter un plus technologique sur leur lieu de travail », explique Christina Johnson, 25 ans, coordinatrice marketing chez Serena. « Les technologies grand public telles que les réseaux sociaux et les outils de collaboration en ligne sont de plus en plus utilisées dans le cadre professionnel. Inutile, désormais, d’être un « techie » pour créer des applications logicielles et collaborer avec ses collègues à l’échelle nationale. » Christina Johnson est payée pour utiliser Facebook au quotidien afin de communiquer avec ses clients et ses collègues, et compte même, parmi ses amis Facebook, Jeremy Burton, le Président de Serena.
Christina Johnson correspond au profil du « Masher fortuit », principalement composé de jeunes femmes qui, bien que moins férues de technologies que d’autres profils, comme le « Masher alpha », s’efforcent d’évoluer en franchissant les obstacles qui les freinent – le « plafond de verre » – et considèrent les technologies comme un moyen d’y parvenir. Les « Mashers fortuits » identifiés dans l’étude présentent les caractéristiques suivantes :
• Ils adoptent les technologies de manière extrêmement précoce – 53 % déclarent être les premiers à tester les nouveautés, avant même leur commercialisation à grande échelle, ce qui les place en tête des autres profils.
• Ils sont de véritables bourreaux de travail – 26 % le reconnaissent, un pourcentage supérieur à celui des autres profils.
• Ils réinventent les méthodes établies et en brisent le moule – près de 20 % d’entre eux travaillent à des postes récemment créés pour faire face à un nouveau besoin au sein de leur entreprise, mais leur style reste ancré dans la réinvention, au travail comme en dehors. Ce profil présente également la part d’« inactifs » la plus importante, avec 20 % de personnes sans emploi.
Profils de Mashers
L’étude a révélé des tendances communes à l’ensemble des participants :
• Ils estiment que les technologies jouent un rôle considérable dans leur vie et qu’elles sont également essentielles à l’évolution de la société civile.
• Ils travaillent très souvent dans un service informatique, mais dans des domaines divers, allant de la santé aux services financiers.
• Ils préfèrent le jogging à tout autre sport.
• Ils privilégient une approche structurée et planifiée dans leurs rapports avec le monde extérieur.
• Ils se considèrent comme modérés d’un point de vue politique.
Une analyse de regroupement a permis de distinguer cinq segments spécifiques, ou Mashers, parmi les adopteurs précoces de technologies, à partir des différentes réponses à certaines questions clés.
• Masher alpha – Baignant littéralement dans la technologie, il considère que cette dernière a un fort impact positif sur sa vie et son aptitude à communiquer. Dans son travail, il délègue, cherchant sans cesse des solutions pour répartir les tâches (il peut s’agir d’un directeur de cabinet de conseil). Ce profil est celui qui comporte le plus de personnes estimant que les technologies ont un impact positif sur le monde (94 %) et travaillant à plein-temps (91 %). Il regroupe principalement des hommes de 35 à 44 ans.
• Masher fortuit – Moins à l’aise avec les technologies que le Masher alpha, il est parfaitement conscient de la manière dont elles peuvent améliorer sa vie. Adoptant une approche moins directe dans son travail, il considère la technologie comme un outil permettant de résoudre des problèmes et non comme une panacée (il peut s’agir d’un chef de projet logiciel dans le secteur de la santé). Il ressemble au Masher mesuré à ceci près qu’il accorde plus d’importance à son travail et fait preuve de plus d’enthousiasme envers les technologies. Ce profil regroupe principalement des femmes de 25 à 54 ans.
• Masher pratique – Il utilise l’ensemble des technologies appréciées par la plupart des Mashers, mais affiche un enthousiasme plus modéré pour les équipements. Il travaille généralement sous la direction des deux premiers profils et s’occupe principalement de l’implémentation (il peut s’agir d’un Web designer dans la vente de produits haut de gamme). Ce profil est celui qui comporte le moins de personnes estimant que les technologies ont un impact positif sur le monde (50 % seulement) ou sur leur vie (20 %). Il regroupe principalement des hommes de 25 à 44 ans.
• Masher mesuré – Semblable au Masher fortuit, il n’articule cependant pas toute sa vie autour des technologies ou de son travail. Il considère son travail comme un moyen de financer ses loisirs et mène une vie plus décontractée que d’autres profils. Il hésite à adopter les nouvelles technologies avant de savoir de quelle façon elles vont intervenir dans sa vie personnelle (il peut s’agir d’un chef de projet informatique dans le domaine des services financiers). Ce profil présente la plus forte proportion d’étudiants (9 %) et la plus faible de bourreaux de travail (9 %). Il regroupe principalement des femmes de 25 à 44 ans.
• Masher timoré – Très réticent à adopter les nouvelles technologies avant qu’elles ne se popularisent, il est le moins enclin à prendre des risques, à résoudre activement des problèmes ou à générer de la productivité. Dans son travail, il peut opter pour un nouveau processus à condition que son efficacité ait été éprouvée dans un autre service (il peut s’agir d’un responsable informatique dans un service des transports). Ce profil est le plus craintif vis-à-vis des risques liés aux technologies (seul 1 % de ces personnes teste immédiatement les nouvelles technologies), à leur travail (seuls 7 % prennent des risques professionnels fréquents) et à leur vie (seuls 4 % prennent des risques personnels fréquents). Il regroupe principalement des hommes de 35 à 54 ans.
Méthodologie de l’étude
La société d’études de marché et de conseil Penn, Schoen & Berland Associates a réalisé l’enquête en ligne « Serena Software Masher Profile Exploratory Research Study » au mois de mars 2008 auprès de 700 consommateurs américains. Tous les participants étaient des utilisateurs d’ordinateur et d’Internet, adopteurs précoces, dépendants des technologies et prescripteurs technologiques. Cette étude a été conçue pour permettre au personnel et aux clients de Serena Software d’avoir une vision précise de ce que signifie être un Masher et d’identifier des segments spécifiques parmi cette communauté. Pour plus d’informations sur Penn, Schoen & Berland Associates, consultez le site Web http://www.psbresearch.com/.
A propos de Serena Software, Inc.
Serena Software, Inc. fournit des services destinés à augmenter la productivité des entreprises et de leurs employés. Plus de 15.000 entreprises dans le monde, dont 96 du classement Fortune 100, font confiance aux solutions Serena, vendues en licences ou à la demande, car elles apportent à la fois une meilleure visibilité et efficacité au processus de développement des applications. Serena offre des solutions telles que Serena® Mariner® (Gestion de Portefeuilles de Projets), Serena Business Mashups, Serena Dimensions® (Gestion du changement et des exigences) et proposera Agile Application Lifecycle Management (ALM gestion du cycle de vie applicatif) très prochainement. Le siège de Serena est situé à Redwood City en Californie. La société est implantée aux Etats-Unis, en Europe et en Asie-Pacifique. Pour plus d’informations sur les solutions et services de Serena, visitez le site www.serena.com.
dans la vie quotidienne
Paris — 2 Juin 2008 —Habituées des réseaux sociaux et très ouvertes aux technologies, les jeunes représentantes de la génération Y disposent d’un atout de poids sur le marché du travail: elles sont, en effet, considérées comme des « Mashers fortuits », l’un des cinq profils de Mashers caractérisant les adopteurs précoces de technologies, d’après une nouvelle étude commanditée par Serena Software. Aux Etats-Unis, 700 adopteurs précoces ont ainsi été interrogés afin d’identifier des traits distinctifs dans leur approche des technologies, leur travail, leur mode de vie, leur personnalité et leurs caractéristiques socio-démographiques. D’après Serena, au vu des résultats de l’étude, un Masher est une personne capable d’utiliser les technologies pour améliorer sa productivité, dans sa vie personnelle comme dans son travail. Ce questionnaire gratuit (disponible à l’adresse http://apps.facebook.com/masher_quiz) est ouvert à quiconque souhaite connaître son mode d’utilisation des technologies au quotidien.
La société Serena Software, leader de la gestion du cycle de vie applicatif (ALM) et célèbre pour ses Business Mashups et les Vendredis Facebook de son personnel, a décidé de faire réaliser cette étude car elle est convaincue que la connaissance des réseaux sociaux acquise en ligne par la génération Y contribuera autant à sa réussite professionnelle que ses études. Une enquête récente de l’agence de reclassement Challenger Gray & Christmas a montré que, malgré la récession, de nombreux employeurs prévoyaient d’embaucher des diplômés de l’enseignement supérieur cette année : 22 % des entreprises américaines pensent recruter plus de diplômés qu’en 2007, et 46 % envisagent d’en recruter le même nombre. S’appuyant sur une analyse de Forrester portant sur les jeunes et les réseaux sociaux (« Youth and Social Networks », Forrester Research, Inc., janvier 2008) qui indique que les jeunes femmes sont plus portées à exprimer leur personnalité sur les sites communautaires de réseaux sociaux que leurs homologues masculins (44 % contre 35 %), Serena suggère que les représentantes de la génération Y contribueront à lutter contre le stéréotype du « techie » en établissant de nouvelles méthodes efficaces de collaboration.
« Les femmes n’ont plus besoin d’avoir un diplôme d’ingénieur ou de travailler dans un service informatique pour apporter un plus technologique sur leur lieu de travail », explique Christina Johnson, 25 ans, coordinatrice marketing chez Serena. « Les technologies grand public telles que les réseaux sociaux et les outils de collaboration en ligne sont de plus en plus utilisées dans le cadre professionnel. Inutile, désormais, d’être un « techie » pour créer des applications logicielles et collaborer avec ses collègues à l’échelle nationale. » Christina Johnson est payée pour utiliser Facebook au quotidien afin de communiquer avec ses clients et ses collègues, et compte même, parmi ses amis Facebook, Jeremy Burton, le Président de Serena.
Christina Johnson correspond au profil du « Masher fortuit », principalement composé de jeunes femmes qui, bien que moins férues de technologies que d’autres profils, comme le « Masher alpha », s’efforcent d’évoluer en franchissant les obstacles qui les freinent – le « plafond de verre » – et considèrent les technologies comme un moyen d’y parvenir. Les « Mashers fortuits » identifiés dans l’étude présentent les caractéristiques suivantes :
• Ils adoptent les technologies de manière extrêmement précoce – 53 % déclarent être les premiers à tester les nouveautés, avant même leur commercialisation à grande échelle, ce qui les place en tête des autres profils.
• Ils sont de véritables bourreaux de travail – 26 % le reconnaissent, un pourcentage supérieur à celui des autres profils.
• Ils réinventent les méthodes établies et en brisent le moule – près de 20 % d’entre eux travaillent à des postes récemment créés pour faire face à un nouveau besoin au sein de leur entreprise, mais leur style reste ancré dans la réinvention, au travail comme en dehors. Ce profil présente également la part d’« inactifs » la plus importante, avec 20 % de personnes sans emploi.
Profils de Mashers
L’étude a révélé des tendances communes à l’ensemble des participants :
• Ils estiment que les technologies jouent un rôle considérable dans leur vie et qu’elles sont également essentielles à l’évolution de la société civile.
• Ils travaillent très souvent dans un service informatique, mais dans des domaines divers, allant de la santé aux services financiers.
• Ils préfèrent le jogging à tout autre sport.
• Ils privilégient une approche structurée et planifiée dans leurs rapports avec le monde extérieur.
• Ils se considèrent comme modérés d’un point de vue politique.
Une analyse de regroupement a permis de distinguer cinq segments spécifiques, ou Mashers, parmi les adopteurs précoces de technologies, à partir des différentes réponses à certaines questions clés.
• Masher alpha – Baignant littéralement dans la technologie, il considère que cette dernière a un fort impact positif sur sa vie et son aptitude à communiquer. Dans son travail, il délègue, cherchant sans cesse des solutions pour répartir les tâches (il peut s’agir d’un directeur de cabinet de conseil). Ce profil est celui qui comporte le plus de personnes estimant que les technologies ont un impact positif sur le monde (94 %) et travaillant à plein-temps (91 %). Il regroupe principalement des hommes de 35 à 44 ans.
• Masher fortuit – Moins à l’aise avec les technologies que le Masher alpha, il est parfaitement conscient de la manière dont elles peuvent améliorer sa vie. Adoptant une approche moins directe dans son travail, il considère la technologie comme un outil permettant de résoudre des problèmes et non comme une panacée (il peut s’agir d’un chef de projet logiciel dans le secteur de la santé). Il ressemble au Masher mesuré à ceci près qu’il accorde plus d’importance à son travail et fait preuve de plus d’enthousiasme envers les technologies. Ce profil regroupe principalement des femmes de 25 à 54 ans.
• Masher pratique – Il utilise l’ensemble des technologies appréciées par la plupart des Mashers, mais affiche un enthousiasme plus modéré pour les équipements. Il travaille généralement sous la direction des deux premiers profils et s’occupe principalement de l’implémentation (il peut s’agir d’un Web designer dans la vente de produits haut de gamme). Ce profil est celui qui comporte le moins de personnes estimant que les technologies ont un impact positif sur le monde (50 % seulement) ou sur leur vie (20 %). Il regroupe principalement des hommes de 25 à 44 ans.
• Masher mesuré – Semblable au Masher fortuit, il n’articule cependant pas toute sa vie autour des technologies ou de son travail. Il considère son travail comme un moyen de financer ses loisirs et mène une vie plus décontractée que d’autres profils. Il hésite à adopter les nouvelles technologies avant de savoir de quelle façon elles vont intervenir dans sa vie personnelle (il peut s’agir d’un chef de projet informatique dans le domaine des services financiers). Ce profil présente la plus forte proportion d’étudiants (9 %) et la plus faible de bourreaux de travail (9 %). Il regroupe principalement des femmes de 25 à 44 ans.
• Masher timoré – Très réticent à adopter les nouvelles technologies avant qu’elles ne se popularisent, il est le moins enclin à prendre des risques, à résoudre activement des problèmes ou à générer de la productivité. Dans son travail, il peut opter pour un nouveau processus à condition que son efficacité ait été éprouvée dans un autre service (il peut s’agir d’un responsable informatique dans un service des transports). Ce profil est le plus craintif vis-à-vis des risques liés aux technologies (seul 1 % de ces personnes teste immédiatement les nouvelles technologies), à leur travail (seuls 7 % prennent des risques professionnels fréquents) et à leur vie (seuls 4 % prennent des risques personnels fréquents). Il regroupe principalement des hommes de 35 à 54 ans.
Méthodologie de l’étude
La société d’études de marché et de conseil Penn, Schoen & Berland Associates a réalisé l’enquête en ligne « Serena Software Masher Profile Exploratory Research Study » au mois de mars 2008 auprès de 700 consommateurs américains. Tous les participants étaient des utilisateurs d’ordinateur et d’Internet, adopteurs précoces, dépendants des technologies et prescripteurs technologiques. Cette étude a été conçue pour permettre au personnel et aux clients de Serena Software d’avoir une vision précise de ce que signifie être un Masher et d’identifier des segments spécifiques parmi cette communauté. Pour plus d’informations sur Penn, Schoen & Berland Associates, consultez le site Web http://www.psbresearch.com/.
A propos de Serena Software, Inc.
Serena Software, Inc. fournit des services destinés à augmenter la productivité des entreprises et de leurs employés. Plus de 15.000 entreprises dans le monde, dont 96 du classement Fortune 100, font confiance aux solutions Serena, vendues en licences ou à la demande, car elles apportent à la fois une meilleure visibilité et efficacité au processus de développement des applications. Serena offre des solutions telles que Serena® Mariner® (Gestion de Portefeuilles de Projets), Serena Business Mashups, Serena Dimensions® (Gestion du changement et des exigences) et proposera Agile Application Lifecycle Management (ALM gestion du cycle de vie applicatif) très prochainement. Le siège de Serena est situé à Redwood City en Californie. La société est implantée aux Etats-Unis, en Europe et en Asie-Pacifique. Pour plus d’informations sur les solutions et services de Serena, visitez le site www.serena.com.
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