Un questionnaire gratuit évalue le mode d’utilisation des technologies
dans la vie quotidienne
Paris — 2 Juin 2008 —Habituées des réseaux sociaux et très ouvertes aux technologies, les jeunes représentantes de la génération Y disposent d’un atout de poids sur le marché du travail: elles sont, en effet, considérées comme des « Mashers fortuits », l’un des cinq profils de Mashers caractérisant les adopteurs précoces de technologies, d’après une nouvelle étude commanditée par Serena Software. Aux Etats-Unis, 700 adopteurs précoces ont ainsi été interrogés afin d’identifier des traits distinctifs dans leur approche des technologies, leur travail, leur mode de vie, leur personnalité et leurs caractéristiques socio-démographiques. D’après Serena, au vu des résultats de l’étude, un Masher est une personne capable d’utiliser les technologies pour améliorer sa productivité, dans sa vie personnelle comme dans son travail. Ce questionnaire gratuit (disponible à l’adresse http://apps.facebook.com/masher_quiz) est ouvert à quiconque souhaite connaître son mode d’utilisation des technologies au quotidien.
La société Serena Software, leader de la gestion du cycle de vie applicatif (ALM) et célèbre pour ses Business Mashups et les Vendredis Facebook de son personnel, a décidé de faire réaliser cette étude car elle est convaincue que la connaissance des réseaux sociaux acquise en ligne par la génération Y contribuera autant à sa réussite professionnelle que ses études. Une enquête récente de l’agence de reclassement Challenger Gray & Christmas a montré que, malgré la récession, de nombreux employeurs prévoyaient d’embaucher des diplômés de l’enseignement supérieur cette année : 22 % des entreprises américaines pensent recruter plus de diplômés qu’en 2007, et 46 % envisagent d’en recruter le même nombre. S’appuyant sur une analyse de Forrester portant sur les jeunes et les réseaux sociaux (« Youth and Social Networks », Forrester Research, Inc., janvier 2008) qui indique que les jeunes femmes sont plus portées à exprimer leur personnalité sur les sites communautaires de réseaux sociaux que leurs homologues masculins (44 % contre 35 %), Serena suggère que les représentantes de la génération Y contribueront à lutter contre le stéréotype du « techie » en établissant de nouvelles méthodes efficaces de collaboration.
« Les femmes n’ont plus besoin d’avoir un diplôme d’ingénieur ou de travailler dans un service informatique pour apporter un plus technologique sur leur lieu de travail », explique Christina Johnson, 25 ans, coordinatrice marketing chez Serena. « Les technologies grand public telles que les réseaux sociaux et les outils de collaboration en ligne sont de plus en plus utilisées dans le cadre professionnel. Inutile, désormais, d’être un « techie » pour créer des applications logicielles et collaborer avec ses collègues à l’échelle nationale. » Christina Johnson est payée pour utiliser Facebook au quotidien afin de communiquer avec ses clients et ses collègues, et compte même, parmi ses amis Facebook, Jeremy Burton, le Président de Serena.
Christina Johnson correspond au profil du « Masher fortuit », principalement composé de jeunes femmes qui, bien que moins férues de technologies que d’autres profils, comme le « Masher alpha », s’efforcent d’évoluer en franchissant les obstacles qui les freinent – le « plafond de verre » – et considèrent les technologies comme un moyen d’y parvenir. Les « Mashers fortuits » identifiés dans l’étude présentent les caractéristiques suivantes :
• Ils adoptent les technologies de manière extrêmement précoce – 53 % déclarent être les premiers à tester les nouveautés, avant même leur commercialisation à grande échelle, ce qui les place en tête des autres profils.
• Ils sont de véritables bourreaux de travail – 26 % le reconnaissent, un pourcentage supérieur à celui des autres profils.
• Ils réinventent les méthodes établies et en brisent le moule – près de 20 % d’entre eux travaillent à des postes récemment créés pour faire face à un nouveau besoin au sein de leur entreprise, mais leur style reste ancré dans la réinvention, au travail comme en dehors. Ce profil présente également la part d’« inactifs » la plus importante, avec 20 % de personnes sans emploi.
Profils de Mashers
L’étude a révélé des tendances communes à l’ensemble des participants :
• Ils estiment que les technologies jouent un rôle considérable dans leur vie et qu’elles sont également essentielles à l’évolution de la société civile.
• Ils travaillent très souvent dans un service informatique, mais dans des domaines divers, allant de la santé aux services financiers.
• Ils préfèrent le jogging à tout autre sport.
• Ils privilégient une approche structurée et planifiée dans leurs rapports avec le monde extérieur.
• Ils se considèrent comme modérés d’un point de vue politique.
Une analyse de regroupement a permis de distinguer cinq segments spécifiques, ou Mashers, parmi les adopteurs précoces de technologies, à partir des différentes réponses à certaines questions clés.
• Masher alpha – Baignant littéralement dans la technologie, il considère que cette dernière a un fort impact positif sur sa vie et son aptitude à communiquer. Dans son travail, il délègue, cherchant sans cesse des solutions pour répartir les tâches (il peut s’agir d’un directeur de cabinet de conseil). Ce profil est celui qui comporte le plus de personnes estimant que les technologies ont un impact positif sur le monde (94 %) et travaillant à plein-temps (91 %). Il regroupe principalement des hommes de 35 à 44 ans.
• Masher fortuit – Moins à l’aise avec les technologies que le Masher alpha, il est parfaitement conscient de la manière dont elles peuvent améliorer sa vie. Adoptant une approche moins directe dans son travail, il considère la technologie comme un outil permettant de résoudre des problèmes et non comme une panacée (il peut s’agir d’un chef de projet logiciel dans le secteur de la santé). Il ressemble au Masher mesuré à ceci près qu’il accorde plus d’importance à son travail et fait preuve de plus d’enthousiasme envers les technologies. Ce profil regroupe principalement des femmes de 25 à 54 ans.
• Masher pratique – Il utilise l’ensemble des technologies appréciées par la plupart des Mashers, mais affiche un enthousiasme plus modéré pour les équipements. Il travaille généralement sous la direction des deux premiers profils et s’occupe principalement de l’implémentation (il peut s’agir d’un Web designer dans la vente de produits haut de gamme). Ce profil est celui qui comporte le moins de personnes estimant que les technologies ont un impact positif sur le monde (50 % seulement) ou sur leur vie (20 %). Il regroupe principalement des hommes de 25 à 44 ans.
• Masher mesuré – Semblable au Masher fortuit, il n’articule cependant pas toute sa vie autour des technologies ou de son travail. Il considère son travail comme un moyen de financer ses loisirs et mène une vie plus décontractée que d’autres profils. Il hésite à adopter les nouvelles technologies avant de savoir de quelle façon elles vont intervenir dans sa vie personnelle (il peut s’agir d’un chef de projet informatique dans le domaine des services financiers). Ce profil présente la plus forte proportion d’étudiants (9 %) et la plus faible de bourreaux de travail (9 %). Il regroupe principalement des femmes de 25 à 44 ans.
• Masher timoré – Très réticent à adopter les nouvelles technologies avant qu’elles ne se popularisent, il est le moins enclin à prendre des risques, à résoudre activement des problèmes ou à générer de la productivité. Dans son travail, il peut opter pour un nouveau processus à condition que son efficacité ait été éprouvée dans un autre service (il peut s’agir d’un responsable informatique dans un service des transports). Ce profil est le plus craintif vis-à-vis des risques liés aux technologies (seul 1 % de ces personnes teste immédiatement les nouvelles technologies), à leur travail (seuls 7 % prennent des risques professionnels fréquents) et à leur vie (seuls 4 % prennent des risques personnels fréquents). Il regroupe principalement des hommes de 35 à 54 ans.
Méthodologie de l’étude
La société d’études de marché et de conseil Penn, Schoen & Berland Associates a réalisé l’enquête en ligne « Serena Software Masher Profile Exploratory Research Study » au mois de mars 2008 auprès de 700 consommateurs américains. Tous les participants étaient des utilisateurs d’ordinateur et d’Internet, adopteurs précoces, dépendants des technologies et prescripteurs technologiques. Cette étude a été conçue pour permettre au personnel et aux clients de Serena Software d’avoir une vision précise de ce que signifie être un Masher et d’identifier des segments spécifiques parmi cette communauté. Pour plus d’informations sur Penn, Schoen & Berland Associates, consultez le site Web http://www.psbresearch.com/.
A propos de Serena Software, Inc.
Serena Software, Inc. fournit des services destinés à augmenter la productivité des entreprises et de leurs employés. Plus de 15.000 entreprises dans le monde, dont 96 du classement Fortune 100, font confiance aux solutions Serena, vendues en licences ou à la demande, car elles apportent à la fois une meilleure visibilité et efficacité au processus de développement des applications. Serena offre des solutions telles que Serena® Mariner® (Gestion de Portefeuilles de Projets), Serena Business Mashups, Serena Dimensions® (Gestion du changement et des exigences) et proposera Agile Application Lifecycle Management (ALM gestion du cycle de vie applicatif) très prochainement. Le siège de Serena est situé à Redwood City en Californie. La société est implantée aux Etats-Unis, en Europe et en Asie-Pacifique. Pour plus d’informations sur les solutions et services de Serena, visitez le site www.serena.com.
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