Avril 1, 2008 par carriereti
Si vous visitez le site du formateur Stéphane Simard www.generationY.ca, vous arriverez sûrement à la même conclusion que moi : toute entreprise qui dépend des jeunes travailleurs (pour leur expertise pointue, leur créativité ou leur plus grande disponibilité), devrait se donner comme priorité d’être supportée par un spécialiste. D’ailleurs, on peut voir que deux des citations de clients affichées sur le site proviennent d’entreprises qui se classent bien dans les concours d’identification des meilleurs employeurs. Il n’est pas surprenant que ces dernières se montrent plus visionnaires dans leurs efforts pour devancer leurs compétiteurs au niveau du recrutement et de la rétention de la main d’oeuvre composée des jeunes travailleurs.
Comme monsieur Simard le dit lui-même : “Confrontée à une concurrence mondiale féroce, une pénurie criante de main d’œuvre qualifiée et des départs massifs à la retraite, la survie des entreprises québécoises dépend plus que jamais d’employés passionnés, responsables et créatifs.” Dans ce contexte, le moindre avantage concurrentiel en matière de gestion des ressources humaines prend une valeur énorme. À défaut d’organiser une formation à l’interne si cela vous est impossible, lire le livre est un compromis acceptable. Vous pouvez vous le procurer sur le site www.generationY.ca ou dans toute bonne librairie.
Je ne connais pas le carnet de commandes pour la formation offerte par monsieur Simard, mais j’ose espérer qu’il est bien rempli. Car quelle entreprise n’a pas besoin de se familiariser avec le contenu suivant de la formation :
Découvrez comment créer un milieu de travail vibrant, enrichissant et performant :
- Les valeurs qui allument la génération Y;
- Les moyens pour attirer plus facilement les jeunes de 18 à 30 ans les plus talentueux dans votre organisation;
- La façon de développer et partager une vision qui suscite passion, émotion et conviction; Les éléments clés pour provoquer l’engagement.
Voici une entrevue avec l’auteur du livre et le formateur Stéphane Simard :
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