Génération Y, Génération C... "Communiquer, Collaborer et Créer" - L'entreprise de demain - Lentreprise: "Génération Y, Génération C... 'Communiquer, Collaborer et Créer'
le 17 juillet 2009 5h00 | par
Frederic Creplet
Vous avez du entendre parler de la génération Y ? Les membres de la génération Y ont aujourd'hui entre 22 et 32 ans (selon les études)...
Selon un article récent de Patrice LETOURNEAU pour le Blog de VOIRIN Consultants, ils se caractérisent par les termes ci-après:
On voit leur effet partout et, lorsqu'ils sont regroupés en plus grand nombre comme dans le cas d'organisations « à la Google », ils sont de puissants moteurs d'innovation.
Rappelons ici certaines de leurs caractéristiques :
* Ils sont ludiques, individualistes et ambitieux,
* Ils sont réticents à travailler durant les fêtes et week-ends,
* Ils veulent des congés pour décompresser, car la santé mentale et physique s'avère leur priorité,
* Ils recherchent une meilleure qualité de vie, en conciliant travail et intérêt personnel,
* Ils pensent à court terme et sont très mobiles,
* Ils sont très à l’aise avec les technologies de l’information et collaborent facilement.
Mais selon certains chercheurs, si la génération Y ouvre la voie à des transformations profondes dans les organisations (utilisation d’outils collaboratifs, applatissement des structures hiérarchiques, etc.), c’est l’arrivée de la génération « C » qui provoquera le plus d’impacts...
stickers papier paint.jpg
La génération C selon l'auteur : 'est connectée à la fois à la maison, à l’école, mais elle utilise aussi les téléphones portables pour rechercher de l’information, échanger, communiquer, partager, etc. Elle est native du numérique et imagine mal comment la société pouvait fonctionner avant l’arrivée du web. En effet, comment les gens arrivaient-ils à planifier des week-ends de camping sans Facebook ? Et pour les horaires de cinéma, il fallait vraiment téléphoner ? Les travaux scolaires sans Google leur semblent d’autant plus impossibles à imaginer.'...
colloque_génération C.jpg
Pour ceux que cela intéresse un très beau colloque va avoir lieu à Québec en octobre prochain sur la généraion C organisé par le CEFRIO... Je vous encourage à lire la présentation et le programme!
Le colloque donnera également les résultats d'une étude sur cette génération... présentée comme la plus grande étude jamais réalisée au Québec sur les attentes et les comportements des jeunes qui ont grandi avec les TIC et Internet...
Le contexte de l’étude : en 2006, 468 000 Québécois avaient entre 10 et 14 ans; 474 000 avaient entre 15 et 19 ans; et 492 000 avaient entre 20 et 24 ans. On appelle ce million et demi de Québécois la génération C. En effet, ces jeunes ont grandi avec les micro-ordinateurs et Internet et ils s’en servent pour Communiquer, Collaborer et Créer comme jamais auparavant dans l’histoire..."
vendredi 17 juillet 2009
jeudi 18 juin 2009
Gestion des RH - Quelles sont les attentes de la génération Y ?
Gestion des RH - Quelles sont les attentes de la génération Y ?: "Gestion des RH
Quelles sont les attentes de la génération Y ?
Les jeunes et les DRH ont du mal à se comprendre. Au travail, les premiers mettent en avant le niveau de rémunération quand les seconds misent sur la notoriété de l’entreprise.
La génération Y est-elle si différente des générations précédentes ? L’objectif de l’enquête*, réalisée en avril 2009 par la Cegos et publiée le 9 juin, est de tenter de mieux comprendre le comportement de ces jeunes âgés de 20 à 30 ans.
Evolution de carrière
Premier enseignement : l’enquête va à l’encontre des idées reçues. Pour Annick Cohen-Haegen, manager de l’offre ressources humaines de la Cegos, les « jeunes ne sont pas des zappeurs ». En effet, les trois quarts d’entre eux se disent « prêts à rester dans la même entreprise si cette dernière répond à leurs attentes et leur permet d’évoluer ». Ils envisagent « d’abord la mobilité en interne (58 %) afin, notamment, de changer de poste au sein de la même filière de métier ».
Donnant-donnant
Toutefois, cette génération a créé une rupture. Le lien “affectif” avec l’entreprise n’est pas perceptible. « On est beaucoup plus dans une philosophie du donnant-donnant », poursuit Annick Allégret, directrice de l’unité RH. C’est une génération du contrat individualisé et négocié dans laquelle se retrouvent aussi bien les ouvriers que les cadres, les femmes que les hommes, le secteur de l’industrie que celui des services. » Une approche distanciée de l’entreprise qui n’est sans doute pas étrangère au premier lien qu’ils ont avec elle : 63 % des jeunes de 20 à 24 ans démarrent, en effet, leur vie professionnelle par un contrat à durée déterminée.
Rémunération
Enfin, l’enquête montre que leurs attentes déconcertent plus d’un DRH. Pour attirer les moins de 30 ans, ces derniers misent d’abord sur « l’image et la notoriété de l’entreprise » ainsi que sur le « contenu du poste ». Les jeunes placent, eux, la « rémunération et l’évolution de carrière aux premiers rangs de leurs priorités ». Cependant, pour les DRH interrogés, réviser leur politique de rémunération est loin d’être d’actualité. Ils préfèrent se focaliser sur les parcours d’intégration, les processus de recrutement ou la GPEC (gestion prévisionnelle des emplois et de compétences). Pas sûr que le dialogue s’améliore en période de crise.
Anne Bariet
* Enquête « Les 20/30 ans et le travail : regards croisés des jeunes salariés et des DRH », réalisée auprès de 1 001 jeunes salariés âgés de 20 à 30 ans et de 120 DRH.
Entreprise & Carrières, 16/06/2009
© Tous droits réservés
article original
Liens : http://www.chefdentreprise.com/Breves/ConsultBreve.asp?ID_Article=29733
http://www.wk-rh.fr/actualites/detail/8674/mais-ou-est-passee-la-generation-y-.html
http://www.wk-rh.fr/actualites/detail/10664/le-grand-malaise-des-quadras-dans-l-entreprise.html"
Quelles sont les attentes de la génération Y ?
Les jeunes et les DRH ont du mal à se comprendre. Au travail, les premiers mettent en avant le niveau de rémunération quand les seconds misent sur la notoriété de l’entreprise.
La génération Y est-elle si différente des générations précédentes ? L’objectif de l’enquête*, réalisée en avril 2009 par la Cegos et publiée le 9 juin, est de tenter de mieux comprendre le comportement de ces jeunes âgés de 20 à 30 ans.
Evolution de carrière
Premier enseignement : l’enquête va à l’encontre des idées reçues. Pour Annick Cohen-Haegen, manager de l’offre ressources humaines de la Cegos, les « jeunes ne sont pas des zappeurs ». En effet, les trois quarts d’entre eux se disent « prêts à rester dans la même entreprise si cette dernière répond à leurs attentes et leur permet d’évoluer ». Ils envisagent « d’abord la mobilité en interne (58 %) afin, notamment, de changer de poste au sein de la même filière de métier ».
Donnant-donnant
Toutefois, cette génération a créé une rupture. Le lien “affectif” avec l’entreprise n’est pas perceptible. « On est beaucoup plus dans une philosophie du donnant-donnant », poursuit Annick Allégret, directrice de l’unité RH. C’est une génération du contrat individualisé et négocié dans laquelle se retrouvent aussi bien les ouvriers que les cadres, les femmes que les hommes, le secteur de l’industrie que celui des services. » Une approche distanciée de l’entreprise qui n’est sans doute pas étrangère au premier lien qu’ils ont avec elle : 63 % des jeunes de 20 à 24 ans démarrent, en effet, leur vie professionnelle par un contrat à durée déterminée.
Rémunération
Enfin, l’enquête montre que leurs attentes déconcertent plus d’un DRH. Pour attirer les moins de 30 ans, ces derniers misent d’abord sur « l’image et la notoriété de l’entreprise » ainsi que sur le « contenu du poste ». Les jeunes placent, eux, la « rémunération et l’évolution de carrière aux premiers rangs de leurs priorités ». Cependant, pour les DRH interrogés, réviser leur politique de rémunération est loin d’être d’actualité. Ils préfèrent se focaliser sur les parcours d’intégration, les processus de recrutement ou la GPEC (gestion prévisionnelle des emplois et de compétences). Pas sûr que le dialogue s’améliore en période de crise.
Anne Bariet
* Enquête « Les 20/30 ans et le travail : regards croisés des jeunes salariés et des DRH », réalisée auprès de 1 001 jeunes salariés âgés de 20 à 30 ans et de 120 DRH.
Entreprise & Carrières, 16/06/2009
© Tous droits réservés
article original
Liens : http://www.chefdentreprise.com/Breves/ConsultBreve.asp?ID_Article=29733
http://www.wk-rh.fr/actualites/detail/8674/mais-ou-est-passee-la-generation-y-.html
http://www.wk-rh.fr/actualites/detail/10664/le-grand-malaise-des-quadras-dans-l-entreprise.html"
mercredi 27 mai 2009
Manager des juniors et/ou des seniors - pourseformer.fr
Manager des juniors et/ou des seniors - pourseformer.fr: "Manager des juniors et/ou des seniors
Comment éviter les problèmes intergénérationnels dans l’entreprise ? La question est d’actualité avec d’une part, des jeunes de la « génération Y » que les managers peinent parfois à comprendre. De l’autre, des « seniors » qui non seulement nécessiteraient des attentions particulières, mais doivent en plus parfois cohabiter avec les premiers. Une équation pas toujours aisée à résoudre.
« Depuis un peu plus d’un an, nous avons constaté une nouvelle demande de la part des entreprises, explique Matthieu Daum, consultant au cabinet de conseil en ressources humaines Nexus. Nous travaillions avec elles sur d’autres questions, l’accompagnement au changement, le développement du leadership, la diversité homme/femme… mais de plus en plus, nous comprenons que l’un des problèmes centraux vécus dans l’entreprise est ce problème entre générations ». L’organisme en est alors venu à proposer une démarche originale de « dialogue entre générations », qu’elle a testé au cours des derniers mois.
Ne pas avoir peur de la « génération Y »."
Comment éviter les problèmes intergénérationnels dans l’entreprise ? La question est d’actualité avec d’une part, des jeunes de la « génération Y » que les managers peinent parfois à comprendre. De l’autre, des « seniors » qui non seulement nécessiteraient des attentions particulières, mais doivent en plus parfois cohabiter avec les premiers. Une équation pas toujours aisée à résoudre.
« Depuis un peu plus d’un an, nous avons constaté une nouvelle demande de la part des entreprises, explique Matthieu Daum, consultant au cabinet de conseil en ressources humaines Nexus. Nous travaillions avec elles sur d’autres questions, l’accompagnement au changement, le développement du leadership, la diversité homme/femme… mais de plus en plus, nous comprenons que l’un des problèmes centraux vécus dans l’entreprise est ce problème entre générations ». L’organisme en est alors venu à proposer une démarche originale de « dialogue entre générations », qu’elle a testé au cours des derniers mois.
Ne pas avoir peur de la « génération Y »."
mardi 26 mai 2009
Daphnée Dion-Viens : Après la Y, place à la génération C | Société
Daphnée Dion-Viens : Après la Y, place à la génération C | Société: "enfant
Agrandir
Pour le CEFRIO, les «C» sont les Québécois nés entre 1984 et 1996 qui communiquent, collaborent et créent grâce à l'internet.
Photothèque Le Soleil
Daphnée Dion-Viens
Le Soleil
(Québec) Après les générations X et Y, voici... la génération C. Cette nouvelle étiquette accolée à la génération des 12-24 ans désigne ces jeunes qui «communiquent, collaborent et créent» à l'aide des technologies de l'information. L'expression fera-t-elle boule de neige?
C'est du moins l'étiquette adoptée par le CEFRIO, le Centre francophone d'informatisation des organisations, qui organise cet automne un colloque international ayant pour thème «Êtes-vous prêt pour la génération C?».
Les «C», ce sont un million et demi de jeunes Québécois nés entre 1984 et 1996, qui sont tombés dans la marmite technologique quand ils étaient petits. La plupart ont grandi en pianotant sur un ordinateur à la maison, branché à l'internet.
D'ici 10 ans, ces jeunes représenteront 45 % des travailleurs au Canada. Les écoles, gouvernements et employeurs sont-ils prêts à les accueillir? C'est la question à laquelle tentera de répondre le CEFRIO, en livrant les résultats d'une vaste enquête sur les nouvelles technologies réalisée auprès des 12-24 ans.
«Notre hypothèse de départ est que ces jeunes se démarquent des autres générations par l'utilisation qu'ils font de la technologie, qui les transforme», explique Catherine Lamy, directrice de projet au CEFRIO.
En anglais aussi
L'étiquette «génération C» aurait été utilisée pour la première fois par les rédacteurs du site internet Trendwatching.com, en février 2004. L'expression réfère à ces internautes qui alimentent de «contenu» le Web 2.0, où pullulent les textes, photos et vidéos provenant des utilisateurs. Le centre des médias de l'American Press Institute décrit d'ailleurs la génération C comme étant celle qui «crée, produit et participe à l'information transmise dans une société branchée». L'expression a aussi été reprise sur d'autres sites internet, où le C fait référence en anglais à computer, click, connected... Le CEFRIO a adopté l'expression, jugée beaucoup plus évocatrice que la génération Y ou Z, qui succèdent à la génération X.
Sociologues
Mais reste à voir si l'expression fera tache d'huile. Les sociologues sont loin d'être unanimes à ce sujet. «C'est un peu n'importe quoi», lance Diane Pacom, sociologue à l'Université d'Ottawa, qui a mené plusieurs études sur les jeunes. «C'est une étiquette qui manque de nuances, c'est difficile de mettre des jeunes de 12 ans et de 24 ans dans la même catégorie.»
Mme Pacom rappelle qu'il y a toujours des dangers à apposer des étiquettes de la sorte. Cette génération est particulièrement difficile à cataloguer, puisqu'une de ses caractéristiques est la mobilité. «Les baby-boomers et les X avaient des caractéristiques beaucoup plus stables. Ces jeunes changent rapidement, ils s'adaptent vite et c'est encore plus difficile de les classifier ainsi», dit-elle.
L'utilisation des nouvelles technos est certainement une des caractéristiques importantes de cette génération, mais elle n'est certainement pas la seule, conclut Mme Pacom."
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Pour le CEFRIO, les «C» sont les Québécois nés entre 1984 et 1996 qui communiquent, collaborent et créent grâce à l'internet.
Photothèque Le Soleil
Daphnée Dion-Viens
Le Soleil
(Québec) Après les générations X et Y, voici... la génération C. Cette nouvelle étiquette accolée à la génération des 12-24 ans désigne ces jeunes qui «communiquent, collaborent et créent» à l'aide des technologies de l'information. L'expression fera-t-elle boule de neige?
C'est du moins l'étiquette adoptée par le CEFRIO, le Centre francophone d'informatisation des organisations, qui organise cet automne un colloque international ayant pour thème «Êtes-vous prêt pour la génération C?».
Les «C», ce sont un million et demi de jeunes Québécois nés entre 1984 et 1996, qui sont tombés dans la marmite technologique quand ils étaient petits. La plupart ont grandi en pianotant sur un ordinateur à la maison, branché à l'internet.
D'ici 10 ans, ces jeunes représenteront 45 % des travailleurs au Canada. Les écoles, gouvernements et employeurs sont-ils prêts à les accueillir? C'est la question à laquelle tentera de répondre le CEFRIO, en livrant les résultats d'une vaste enquête sur les nouvelles technologies réalisée auprès des 12-24 ans.
«Notre hypothèse de départ est que ces jeunes se démarquent des autres générations par l'utilisation qu'ils font de la technologie, qui les transforme», explique Catherine Lamy, directrice de projet au CEFRIO.
En anglais aussi
L'étiquette «génération C» aurait été utilisée pour la première fois par les rédacteurs du site internet Trendwatching.com, en février 2004. L'expression réfère à ces internautes qui alimentent de «contenu» le Web 2.0, où pullulent les textes, photos et vidéos provenant des utilisateurs. Le centre des médias de l'American Press Institute décrit d'ailleurs la génération C comme étant celle qui «crée, produit et participe à l'information transmise dans une société branchée». L'expression a aussi été reprise sur d'autres sites internet, où le C fait référence en anglais à computer, click, connected... Le CEFRIO a adopté l'expression, jugée beaucoup plus évocatrice que la génération Y ou Z, qui succèdent à la génération X.
Sociologues
Mais reste à voir si l'expression fera tache d'huile. Les sociologues sont loin d'être unanimes à ce sujet. «C'est un peu n'importe quoi», lance Diane Pacom, sociologue à l'Université d'Ottawa, qui a mené plusieurs études sur les jeunes. «C'est une étiquette qui manque de nuances, c'est difficile de mettre des jeunes de 12 ans et de 24 ans dans la même catégorie.»
Mme Pacom rappelle qu'il y a toujours des dangers à apposer des étiquettes de la sorte. Cette génération est particulièrement difficile à cataloguer, puisqu'une de ses caractéristiques est la mobilité. «Les baby-boomers et les X avaient des caractéristiques beaucoup plus stables. Ces jeunes changent rapidement, ils s'adaptent vite et c'est encore plus difficile de les classifier ainsi», dit-elle.
L'utilisation des nouvelles technos est certainement une des caractéristiques importantes de cette génération, mais elle n'est certainement pas la seule, conclut Mme Pacom."
Le recadrage la génération Y par B. Chaminade - Journal du Net - Recherche vidéo sur Truveo
A voir absolument ! Adapté au Québec, c'est encore pire ou mieux dans le sens que les patrons sont moins bloqués que les français mais les futurs emplyés ont encore plus tendance à partir, le besoin de main-d'oeuvre étant plus grand à tous les niveaux. Ajoutez à cela une crise qui a été moins forte au Québec qu'en Europe et vous avez des mots de tête pour les DRH.(JMR)
Le recadrage la génération Y par B. Chaminade - Journal du Net - Recherche vidéo sur Truveo: "Le recadrage la génération Y par B. Chaminade
Benjamin Chaminade, consultant en ressources humaines, revient sur les bonnes pratiques pour redresser la barre lorsqu'un jeune collaborateur dérape. La clé pour y parvenir sans heurt : avoir gagné auparavant sa confiance.
Publiée le : 15 décembre 2008"
Le recadrage la génération Y par B. Chaminade - Journal du Net - Recherche vidéo sur Truveo: "Le recadrage la génération Y par B. Chaminade
Benjamin Chaminade, consultant en ressources humaines, revient sur les bonnes pratiques pour redresser la barre lorsqu'un jeune collaborateur dérape. La clé pour y parvenir sans heurt : avoir gagné auparavant sa confiance.
Publiée le : 15 décembre 2008"
Québec Hebdo > Economie > Prêts pour la venue des C?
Québec Hebdo > Economie > Prêts pour la venue des C?: "Prêts pour la venue des C?
Luc Fournier par Luc Fournier
Voir tous les articles de Luc Fournier
Article mis en ligne le 13 mai 2009 à 15:27
Soyez le premier à commenter cet article
Prêts pour la venue des C?
Le colloque international sur la génération C, qui se tiendra à Québec à l’automne, tentera de démythifier cette nouvelle génération qui grandit au rythme des nouvelles technologies de l’information. (Photo Luc Fournier)
Prêts pour la venue des C?
Que les employeurs se préparent : après l’entrée dans le marché du travail de la génération Y, l’heure est déjà à se préparer pour la venu des C, soit les jeunes 12 à 24 ans. D’ici dix ans, ils représenteront 45% de la main-d'œuvre active du Canada, selon le CEFRIO.
Cette génération représente en fait un million et demi de Québécois nés entre 1984 et 1996. Ils ont donc, pour certain, déjà intégré le marché du travail, avec, parfois, tout l’attirail technologique qui vient avec.
Car c’est en ce sens que la lettre C s’impose; C comme communiquer, collaborer et créer.
C’est ainsi que les décideurs, professionnels, et gestionnaires pourront en savoir davantage sur cette génération en octobre prochain, lors d’un colloque international qui se tiendra les 20 et 21 octobre prochain au Centre des congrès de Québec.
On pourra voir entre autres quels seront les impacts de la montée de la génération C dans la société et comment s’adapter efficacement à leur arrivée dans le marché du travail.
Le CEFRIO y dévoilera une vaste enquête entreprise en 2008 sur les perceptions, les comportements et les usages technologiques des 12 à 24 ans."
Luc Fournier par Luc Fournier
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Article mis en ligne le 13 mai 2009 à 15:27
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Prêts pour la venue des C?
Le colloque international sur la génération C, qui se tiendra à Québec à l’automne, tentera de démythifier cette nouvelle génération qui grandit au rythme des nouvelles technologies de l’information. (Photo Luc Fournier)
Prêts pour la venue des C?
Que les employeurs se préparent : après l’entrée dans le marché du travail de la génération Y, l’heure est déjà à se préparer pour la venu des C, soit les jeunes 12 à 24 ans. D’ici dix ans, ils représenteront 45% de la main-d'œuvre active du Canada, selon le CEFRIO.
Cette génération représente en fait un million et demi de Québécois nés entre 1984 et 1996. Ils ont donc, pour certain, déjà intégré le marché du travail, avec, parfois, tout l’attirail technologique qui vient avec.
Car c’est en ce sens que la lettre C s’impose; C comme communiquer, collaborer et créer.
C’est ainsi que les décideurs, professionnels, et gestionnaires pourront en savoir davantage sur cette génération en octobre prochain, lors d’un colloque international qui se tiendra les 20 et 21 octobre prochain au Centre des congrès de Québec.
On pourra voir entre autres quels seront les impacts de la montée de la génération C dans la société et comment s’adapter efficacement à leur arrivée dans le marché du travail.
Le CEFRIO y dévoilera une vaste enquête entreprise en 2008 sur les perceptions, les comportements et les usages technologiques des 12 à 24 ans."
lundi 11 mai 2009
Mais qui est donc cette génération Y ?
Interview de Julien Pouget
Julien Pouget est consultant, spécialiste de la génération Y et fondateur du blog La Génération Y.Com
En quelques mots, définissons la génération Y :
En France, l'expression « Génération Y » désigne les personnes nées entre 1978 et 1994. Cette génération regroupe environ 13 millions de personnes soit environ 20% de la population française. Il s'agit de la génération la plus importante depuis la génération du baby-boom.
Les termes utilisés pour désigner cette génération varient.
On parle aussi d' « Echos Boomers » en référence au fait que beaucoup sont des enfants de baby-boomers. Les américains utilisent également l'expression « Digital Natives » pour pointer le fait que ces enfants sont nés avec un ordinateur."
LIRE CET ARTICLE SUR LE SITE "MEETING JOB"
Julien Pouget est consultant, spécialiste de la génération Y et fondateur du blog La Génération Y.Com
En quelques mots, définissons la génération Y :
En France, l'expression « Génération Y » désigne les personnes nées entre 1978 et 1994. Cette génération regroupe environ 13 millions de personnes soit environ 20% de la population française. Il s'agit de la génération la plus importante depuis la génération du baby-boom.
Les termes utilisés pour désigner cette génération varient.
On parle aussi d' « Echos Boomers » en référence au fait que beaucoup sont des enfants de baby-boomers. Les américains utilisent également l'expression « Digital Natives » pour pointer le fait que ces enfants sont nés avec un ordinateur."
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