Les 'Y': un plus pour l'organisation
Mise en ligne 10/03/2008 04h00
Photo © Corbis
Marie-Eve Fournier
Le Journal de Montréal
Contrairement à de nombreux professionnels des ressources humaines, Anne Mezei « adore » travailler avec les jeunes de la génération Y (personnes nées entre 1976 et 1990).
D’après la vice-présidente aux ressources humaines chez St-Hubert, cette génération a « des valeurs extraordinaires » qui forcent les employeurs à être meilleurs. « On ne peut plus prendre personne pour acquis. Ça nous oblige à se questionner », dit-elle.
De belles valeurs
Les jeunes dans la vingtaine « remettent dans les entreprises de belles valeurs comme le respect » et l’importance de la famille, ajoute Anne Mezei, consciente que ses propos ne feront pas l’unanimité.
Moins fidèles à leur employeur que ne l’étaient les générations précédentes, les Y forcent les entreprises à cesser de « tout normaliser », surtout les horaires.
Dorénavant, les employeurs doivent accepter de faire des compromis, comme celui de donner congé une fin de semaine sur deux, donne en exemple François Meunier, porte-parole de l’Association des restaurateurs du Québec."
mardi 25 mars 2008
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